Abidjan – La ministre ivoirienne de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Pr Bakayoko-Ly Ramata, a ouvert jeudi à l’université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan-Cocody, le 2ème congrès international de physiologie et de physiopathologie.
Ce congrès qui dure deux jours, est consacré aux thèmes de l’activité physique, de la prévention des maladies chroniques, des fonctions respiratoires, de la pollution et des facteurs de risques cardiovasculaires.
« Je reste persuadée que les conclusions de cette rencontre scientifique attesteront que l’Afrique apporte sa contribution aux progrès dans le domaine de la santé et plus spécifiquement dans ceux de la physiologie et de la physiopathologie », a déclaré Mme Ly Ramata, à l’ouverture des travaux. Elle a souligné qu’il s’agit « d’une opportunité propice à l’appropriation des nouvelles techniques de lutte contre les maladies chroniques que sont le diabète, les maladies cardiovasculaires, les cancers, la dyslipidémie… ».
La physiologie étudie l’ensemble des mécanismes à l’origine du fonctionnement des organes, la physiopathologie se référant aux dysfonctionnements des organes vitaux. Au regard du caractère transversal de ces disciplines, les chercheurs des laboratoires de physiologie animale et l’Institut de la Jeunesse et des Sports (INJS) ont été associés à leurs collègues des sciences de la santé pour former une société savante en vue d’impacter positivement le recherche orientée vers l’amélioration de la santé humaine, a indiqué Pascal Bogui, président de la Société africaine de physiologie.
(AIP)
aaa/cmas
Ce congrès qui dure deux jours, est consacré aux thèmes de l’activité physique, de la prévention des maladies chroniques, des fonctions respiratoires, de la pollution et des facteurs de risques cardiovasculaires.
« Je reste persuadée que les conclusions de cette rencontre scientifique attesteront que l’Afrique apporte sa contribution aux progrès dans le domaine de la santé et plus spécifiquement dans ceux de la physiologie et de la physiopathologie », a déclaré Mme Ly Ramata, à l’ouverture des travaux. Elle a souligné qu’il s’agit « d’une opportunité propice à l’appropriation des nouvelles techniques de lutte contre les maladies chroniques que sont le diabète, les maladies cardiovasculaires, les cancers, la dyslipidémie… ».
La physiologie étudie l’ensemble des mécanismes à l’origine du fonctionnement des organes, la physiopathologie se référant aux dysfonctionnements des organes vitaux. Au regard du caractère transversal de ces disciplines, les chercheurs des laboratoires de physiologie animale et l’Institut de la Jeunesse et des Sports (INJS) ont été associés à leurs collègues des sciences de la santé pour former une société savante en vue d’impacter positivement le recherche orientée vers l’amélioration de la santé humaine, a indiqué Pascal Bogui, président de la Société africaine de physiologie.
(AIP)
aaa/cmas