La Côte d'Ivoire va tenir courant mai à Paris (France) un groupe consultatif pour la mobilisation de fonds auprès de ses partenaires pour le financement de son nouveau programme national de développement (PND) estimé à 30.000 milliards FCFA sur la période 2016-2020.
L'annonce a été faite par le Premier ministre Daniel Kablan Duncan lors d'une réception en l'honneur de la vice-présidente de l'Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA) du Groupe de la Banque mondiale, Keiko Honda, qui a achevé mercredi une visite officielle de trois jours en Côte d'Ivoire.
Le Plan national de développement 2016-2020, voté par l'Assemblée nationale, a pour objectif d'accélérer la croissance économique et le développement de la Côte d'Ivoire, à travers notamment la poursuite de nouvelles réformes structurelles et sectorielles et la mise en œuvre d'un important programme d'investissement évalué à près de 30 000 milliards de FCFA, dont au moins 60% sont attendus du secteur privé.
En 2012, la Côte d'Ivoire s'était dotée d'un premier plan national de développement sur la période 2012-2015 évalué à 11.076 milliards FCFA.
Pour la mobilisation de ressources complémentaires pour son financement, un groupe consultatif organisé à Paris les 4 et 5 décembre 2012 avait abouti à des intentions de financement de 8,6 milliards USD.
Le gouvernement s'est déclaré satisfait de la mise en œuvre du PND 2012-2015, estimant que 98,6% des ressources prévues ont été mobilisées en termes de concrétisation des engagements du groupe consultatif de Paris.
Après près de deux décennies de récession dues aux crises politico-militaires, l'économie ivoirienne s'est relancée depuis 2012 avec un taux de croissance de 9% en moyenne marquée par la reprise des grands travaux d'infrastructures, notamment routières, portuaires, aéroportuaires et énergétiques.
La Côte d'Ivoire qui vient d'émettre un emprunt obligataire d'un montant de 102 millions de dollars (environ 60 milliards de francs CFA) sur le marché financier ouest-africain a sollicité, à plusieurs reprises l'année écoulée, le marché international pour financer ses projets de développements.
En février dernier, la Côte d'Ivoire a levé sur les marchés internationaux un milliard de dollars grâce à un Eurobond dont les intentions de souscriptions ont été estimées à plus de quatre milliards de dollars.
En outre, l'Etat ivoirien a entamé la nouvelle année avec un emprunt obligataire sur le marché de la finance islamique grâce à un "programme de sukuk" de 500 millions USD signé avec la Société islamique pour le développement du secteur privé (SID) sur la période 2015-2020.
Dans sa première phase, le programme a permis à la Côte d'Ivoire, premier producteur mondial de cacao et de noix de cajou, de récolter en janvier 250 millions USD.
L'annonce a été faite par le Premier ministre Daniel Kablan Duncan lors d'une réception en l'honneur de la vice-présidente de l'Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA) du Groupe de la Banque mondiale, Keiko Honda, qui a achevé mercredi une visite officielle de trois jours en Côte d'Ivoire.
Le Plan national de développement 2016-2020, voté par l'Assemblée nationale, a pour objectif d'accélérer la croissance économique et le développement de la Côte d'Ivoire, à travers notamment la poursuite de nouvelles réformes structurelles et sectorielles et la mise en œuvre d'un important programme d'investissement évalué à près de 30 000 milliards de FCFA, dont au moins 60% sont attendus du secteur privé.
En 2012, la Côte d'Ivoire s'était dotée d'un premier plan national de développement sur la période 2012-2015 évalué à 11.076 milliards FCFA.
Pour la mobilisation de ressources complémentaires pour son financement, un groupe consultatif organisé à Paris les 4 et 5 décembre 2012 avait abouti à des intentions de financement de 8,6 milliards USD.
Le gouvernement s'est déclaré satisfait de la mise en œuvre du PND 2012-2015, estimant que 98,6% des ressources prévues ont été mobilisées en termes de concrétisation des engagements du groupe consultatif de Paris.
Après près de deux décennies de récession dues aux crises politico-militaires, l'économie ivoirienne s'est relancée depuis 2012 avec un taux de croissance de 9% en moyenne marquée par la reprise des grands travaux d'infrastructures, notamment routières, portuaires, aéroportuaires et énergétiques.
La Côte d'Ivoire qui vient d'émettre un emprunt obligataire d'un montant de 102 millions de dollars (environ 60 milliards de francs CFA) sur le marché financier ouest-africain a sollicité, à plusieurs reprises l'année écoulée, le marché international pour financer ses projets de développements.
En février dernier, la Côte d'Ivoire a levé sur les marchés internationaux un milliard de dollars grâce à un Eurobond dont les intentions de souscriptions ont été estimées à plus de quatre milliards de dollars.
En outre, l'Etat ivoirien a entamé la nouvelle année avec un emprunt obligataire sur le marché de la finance islamique grâce à un "programme de sukuk" de 500 millions USD signé avec la Société islamique pour le développement du secteur privé (SID) sur la période 2015-2020.
Dans sa première phase, le programme a permis à la Côte d'Ivoire, premier producteur mondial de cacao et de noix de cajou, de récolter en janvier 250 millions USD.