Transformation structurelle de l’économie ivoirienne : défis et perspectives pour l’industrialisation, tel est le thème de la cinquième édition du déjeuner débat de l’association des diplômés de la prestigieuse école des Hautes études de commerce (HEC) de Paris résidants en Côte d’Ivoire.
Cette rencontre qui a eu pour cadre l’hôtel TIAMA du Plateau, ce 20 février, a été l’occasion pour les diplômés de HEC, de s’imprégner des défis et perspectives pour l’industrialisation de la Côte d’Ivoire dans le cadre de la transformation structurelle de l’économie du pays.
Il ressort de l’exposé du ministre de l’Industrie et des Mines, Jean-Claude Brou, que le secteur industriel ivoirien représente 24% du Produit intérieur brut (PIB), regroupe 5200 entreprises pour 800.000 emplois soit 48% des emplois modernes. Ce secteur est dominé par les activités manufacturières avec ¾ des parts à l’Agro-industrie.
Le ministre Jean Claude Brou a relevé la nécessité pour la Côte d’Ivoire si elle veut transformer son économie, de parvenir à la transformation de son agriculture avec des rendements plus importants synonyme d’amélioration de la productivité. Mieux le secteur industriel doit poursuivre sa croissance. Parvenir à la transformation structurelle de l’économie exige le renforcement des Institutions et la Bonne Gouvernance, accélérer le développement du capital humain, le développement des infrastructures, promouvoir l’intégration régionale et sous-régional puis travailler à la transformation structurelle par l’industrialisation, a indiqué le ministre.
Même si la Côte d’Ivoire dispose d’un important atout à savoir son cadre macro-économique stable, avec un taux d’inflation relativement faible, autour de 3% conformément à l’UEMOA, elle devra relever le défi de la compétitivité, gage d’assurance pour l’investissement, améliorer l’adéquation formation-emploi et enfin mettre l’accent sur le relèvement de la qualité des services, a relevé le ministre de l’Industrie et des Mines.
Le président de l’association des diplômés de HEC Paris, Daouda Coulibaly, par ailleurs Directeur général de la Société ivoirienne de Banque (SIB) a dit sa gratitude au conférencier, qui a bien voulu se prêter à l’exercice. Il a réaffirmé l’engagement des membres de l’Association à prendre une part active dans le développement de la Côte d’Ivoire, ce d’autant plus que la plupart a bénéficié d’une bourse de l’Etat de Côte d’Ivoire pour pouvoir poursuivre leurs études dans cette prestigieuse école de HEC.
Elisée B.
Cette rencontre qui a eu pour cadre l’hôtel TIAMA du Plateau, ce 20 février, a été l’occasion pour les diplômés de HEC, de s’imprégner des défis et perspectives pour l’industrialisation de la Côte d’Ivoire dans le cadre de la transformation structurelle de l’économie du pays.
Il ressort de l’exposé du ministre de l’Industrie et des Mines, Jean-Claude Brou, que le secteur industriel ivoirien représente 24% du Produit intérieur brut (PIB), regroupe 5200 entreprises pour 800.000 emplois soit 48% des emplois modernes. Ce secteur est dominé par les activités manufacturières avec ¾ des parts à l’Agro-industrie.
Le ministre Jean Claude Brou a relevé la nécessité pour la Côte d’Ivoire si elle veut transformer son économie, de parvenir à la transformation de son agriculture avec des rendements plus importants synonyme d’amélioration de la productivité. Mieux le secteur industriel doit poursuivre sa croissance. Parvenir à la transformation structurelle de l’économie exige le renforcement des Institutions et la Bonne Gouvernance, accélérer le développement du capital humain, le développement des infrastructures, promouvoir l’intégration régionale et sous-régional puis travailler à la transformation structurelle par l’industrialisation, a indiqué le ministre.
Même si la Côte d’Ivoire dispose d’un important atout à savoir son cadre macro-économique stable, avec un taux d’inflation relativement faible, autour de 3% conformément à l’UEMOA, elle devra relever le défi de la compétitivité, gage d’assurance pour l’investissement, améliorer l’adéquation formation-emploi et enfin mettre l’accent sur le relèvement de la qualité des services, a relevé le ministre de l’Industrie et des Mines.
Le président de l’association des diplômés de HEC Paris, Daouda Coulibaly, par ailleurs Directeur général de la Société ivoirienne de Banque (SIB) a dit sa gratitude au conférencier, qui a bien voulu se prêter à l’exercice. Il a réaffirmé l’engagement des membres de l’Association à prendre une part active dans le développement de la Côte d’Ivoire, ce d’autant plus que la plupart a bénéficié d’une bourse de l’Etat de Côte d’Ivoire pour pouvoir poursuivre leurs études dans cette prestigieuse école de HEC.
Elisée B.