Abidjan, 22 fév (AIP)- Une série de travaux s’est ouverte à Abidjan, dans le cadre de la revue sectorielle 2015 des projets du Contrat de désendettement et de développement(C2D), en vue de l’amélioration des conditions de sa mise en œuvre coordonnée par les gouvernements ivoirien et français.
A l’ouverture des échanges lundi au Palm Club de Cocody, la secrétaire technique du C2D, Léa Diati Diaté, a expliqué que ces travaux qui durent jusqu’à jeudi, visent à passer en revue la mise en œuvre des activités effectuées en 2015 et pendant les années antérieures, faire un diagnostic de l’état d’avancement des projets des premier et deuxième C2D, examiner les conditions de lancement des projets actuels, mettre en relief les éventuels écarts par rapport aux attentes et actualiser les prévisions de décaissement 2016.
Il s’agit également de tirer les leçons de la revue sectorielle 2014 pour mieux anticiper les difficultés éventuelles et faire des propositions en vue de les surmonter ou d’en atténuer les effets, a ajouté Léa Diati Diaté.
Le président du Comité technique bilatéral du C2D, Théophile Ahoua N’Doli, représentant le Premier ministre, a souligné, pour sa part, qu’à ce jour, "tous les projets du premier C2D sont à la phase d’exécution ou achevés pour certains", citant, entre autres, les ponts de Jacqueville et de Béoumi, ainsi que le boulevard de France redressé et l’hôpital Saint Jean-Baptiste de Tiassalé.
En présence de l’ambassadeur Georges Serre, le représentant du Premier ministre a remercié la partie française qui contribue, à travers le C2D, au développement de la Côte d’Ivoire et au bien-être des populations, ajoutant que le "C2D, c'est du concret !"
D’un montant total de 1900 milliards de FCFA, la France a décaissé à ce jour 1152,25 milliards de FCFA. Soit 413,25 milliards de FCFA pour le premier C2D signé le 1er décembre 2012 et 738 milliards de FCFA pour le 2 ème C2D conclu le 3 décembre 2014.
Le montant alloué au premier C2D a été entièrement remboursé par la Côte d’Ivoire à la France pour être affecté au financement de projets de six secteurs de concentration et trois secteurs transversaux définis d’accord-partie, à savoir Éducation-formation-emploi, Santé-protection sociale, Développement urbain-décentralisation-eau-assainissement, Infrastructures de transport, Justice-Etat de droit, et Agriculture-développement rural-biodiversité.
(AIP)
Amak/kp
A l’ouverture des échanges lundi au Palm Club de Cocody, la secrétaire technique du C2D, Léa Diati Diaté, a expliqué que ces travaux qui durent jusqu’à jeudi, visent à passer en revue la mise en œuvre des activités effectuées en 2015 et pendant les années antérieures, faire un diagnostic de l’état d’avancement des projets des premier et deuxième C2D, examiner les conditions de lancement des projets actuels, mettre en relief les éventuels écarts par rapport aux attentes et actualiser les prévisions de décaissement 2016.
Il s’agit également de tirer les leçons de la revue sectorielle 2014 pour mieux anticiper les difficultés éventuelles et faire des propositions en vue de les surmonter ou d’en atténuer les effets, a ajouté Léa Diati Diaté.
Le président du Comité technique bilatéral du C2D, Théophile Ahoua N’Doli, représentant le Premier ministre, a souligné, pour sa part, qu’à ce jour, "tous les projets du premier C2D sont à la phase d’exécution ou achevés pour certains", citant, entre autres, les ponts de Jacqueville et de Béoumi, ainsi que le boulevard de France redressé et l’hôpital Saint Jean-Baptiste de Tiassalé.
En présence de l’ambassadeur Georges Serre, le représentant du Premier ministre a remercié la partie française qui contribue, à travers le C2D, au développement de la Côte d’Ivoire et au bien-être des populations, ajoutant que le "C2D, c'est du concret !"
D’un montant total de 1900 milliards de FCFA, la France a décaissé à ce jour 1152,25 milliards de FCFA. Soit 413,25 milliards de FCFA pour le premier C2D signé le 1er décembre 2012 et 738 milliards de FCFA pour le 2 ème C2D conclu le 3 décembre 2014.
Le montant alloué au premier C2D a été entièrement remboursé par la Côte d’Ivoire à la France pour être affecté au financement de projets de six secteurs de concentration et trois secteurs transversaux définis d’accord-partie, à savoir Éducation-formation-emploi, Santé-protection sociale, Développement urbain-décentralisation-eau-assainissement, Infrastructures de transport, Justice-Etat de droit, et Agriculture-développement rural-biodiversité.
(AIP)
Amak/kp