Le Ministère de l’Intégration Africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur a organisé du 24 au 26 février, à l’Hôtel Belle Côte (Abidjan), un atelier de réflexion sur le Programme de partenariat intra-Africain pour la mobilité des talents (TMP). Seize pays de l’Afrique de l’ouest, de l’est et des îles de l’Océan Indien ont pris part à ce séminaire, qui vise à fournir des éléments de diagnostic permettant d’apprécier le fonctionnement du mécanisme sous régional de reconnaissance mutuelle des diplômes et qualifications.
En effet, le besoin est né du constat des obstacles obstruant la libre circulation des biens et des personnes en Afrique où la majorité des Etats connaît au même moment, un important déficit de cadres et de main d’œuvre qualifiée.
Ainsi va naître de la collaboration entre le RMCE (Regional multidisciplinary centre for excellence) basé en Île Maurice et l’ACET (African center for economic transformation) basé au Ghana, un mécanisme dénommé Programme de partenariat intra-Africain pour la mobilité des talents ayant pour sigle en anglais TMP (Talent mobility paternship) et qui a été financé sur un don du Development Grant Facility (DGF) de la Banque Mondiale.
Le programme TMP est un engagement volontaire de certains pays pilotes africains visant à adresser plus efficacement les contraintes sur la mobilité intra-africaine de la main-d’œuvre qualifiée et le déficit de compétences, qui ont une incidence directe sur la croissance économique et l’attractivité de l’Afrique.
Selon Mme Tano Yolande, Conseiller Spécial du Ministre de l’Intégration Africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur, l’intégration ne serait qu’une vue de l’esprit, si elle ignore la mobilité des talents. « Il est acquis que la mobilité des talents peut donner une impulsion décisive à une CEDEAO des peuples que nous appelons de tous nos vœux » a-t-elle déclaré.
Mais avant, elle n’a pas manqué de souligner que ce sixième atelier a été financé par la Banque Mondiale, en vue de permettre aux Etats Africains d’atteindre leur plein développement dans le cadre de l’érection efficiente d’un marché commun.
Les panélistes auront à non seulement tirer les leçons des précédents ateliers, mais aussi de poser un diagnostic susceptible d’évaluer l’état d’avancement du programme en cours.
DA
En effet, le besoin est né du constat des obstacles obstruant la libre circulation des biens et des personnes en Afrique où la majorité des Etats connaît au même moment, un important déficit de cadres et de main d’œuvre qualifiée.
Ainsi va naître de la collaboration entre le RMCE (Regional multidisciplinary centre for excellence) basé en Île Maurice et l’ACET (African center for economic transformation) basé au Ghana, un mécanisme dénommé Programme de partenariat intra-Africain pour la mobilité des talents ayant pour sigle en anglais TMP (Talent mobility paternship) et qui a été financé sur un don du Development Grant Facility (DGF) de la Banque Mondiale.
Le programme TMP est un engagement volontaire de certains pays pilotes africains visant à adresser plus efficacement les contraintes sur la mobilité intra-africaine de la main-d’œuvre qualifiée et le déficit de compétences, qui ont une incidence directe sur la croissance économique et l’attractivité de l’Afrique.
Selon Mme Tano Yolande, Conseiller Spécial du Ministre de l’Intégration Africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur, l’intégration ne serait qu’une vue de l’esprit, si elle ignore la mobilité des talents. « Il est acquis que la mobilité des talents peut donner une impulsion décisive à une CEDEAO des peuples que nous appelons de tous nos vœux » a-t-elle déclaré.
Mais avant, elle n’a pas manqué de souligner que ce sixième atelier a été financé par la Banque Mondiale, en vue de permettre aux Etats Africains d’atteindre leur plein développement dans le cadre de l’érection efficiente d’un marché commun.
Les panélistes auront à non seulement tirer les leçons des précédents ateliers, mais aussi de poser un diagnostic susceptible d’évaluer l’état d’avancement du programme en cours.
DA