«Proscrites » depuis le jeudi 1er janvier 2015, les ventes de pain de porte-à-porte et les ventes dans les boutiques de quartier, continuent sans aucune discrétion à Abidjan.
Comme à Samaké et Anador dans la commune d’Abobo, dans plusieurs quartiers des communes d’Abidjan, les distributeurs ambulants de pain sont toujours visibles. Soir Info a fait le constat sur le terrain, pendant des jours. A Abobo, c’est avec des bassines de 30 litres en caoutchouc très solide et résistant appelées communément « cuvette Gbagbo » que, tôt le matin ou aux environs de 16 h, des femmes (jeunes et adultes) se dirigent vers les boulangeries, pour s’approvisionner en pain. Des jeunes gens, également revendeurs de pain, viennent auprès de leurs fournisseurs avec des charrettes et... suite de l'article sur Soir Info
Comme à Samaké et Anador dans la commune d’Abobo, dans plusieurs quartiers des communes d’Abidjan, les distributeurs ambulants de pain sont toujours visibles. Soir Info a fait le constat sur le terrain, pendant des jours. A Abobo, c’est avec des bassines de 30 litres en caoutchouc très solide et résistant appelées communément « cuvette Gbagbo » que, tôt le matin ou aux environs de 16 h, des femmes (jeunes et adultes) se dirigent vers les boulangeries, pour s’approvisionner en pain. Des jeunes gens, également revendeurs de pain, viennent auprès de leurs fournisseurs avec des charrettes et... suite de l'article sur Soir Info