Marrakech (Maroc) – Le Groupe Office chérifien des phosphates (OCP) a exprimé sa volonté de contribuer à une meilleure utilisation des engrais de qualité en Afrique, en vue d’une plus grande rentabilité et d’un plus grand développement de l’agriculture, jeudi, à l’occasion de la 7ème conférence internationale sur l’utilisation des engrais en Afrique, dénommée "Argus FMB Africa fertilizer 2016" à Marrakech, au Maroc.
Lors de la première journée des travaux qui s’achèvent vendredi, les différents panélistes ont fait remarquer que tandis que 60% de la population africaine travaille dans le domaine agricole, "malheureusement", l’agriculture ne participe, pour la plupart des pays, qu’à 25% du produit intérieur brut (PIB).
Ils ont souligné également que l’Afrique souffre de la très faible utilisation des engrais. En moyenne, environ 15 kg d’engrais sont déployés à l’hectare sur les exploitations agricoles en Afrique, alors que la norme internationale est de 100 kg à l’hectare.
Pour atteindre l’objectif des 50 kg à l’hectare comme décidé en 2006 au cours d’un sommet de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) à Abuja, le Groupe OCP a alors créé une filiale africaine inaugurée au début de ce mois de février par le Roi Mohamed VI du Maroc.
"Notre objectif est de rendre l’agriculture africaine plus productive. Cette filiale va contribuer à relever le défi d’une agriculture structurée, performante et durable sur le continent africain en proposant aux agriculteurs tous les moyens de réussir, d’est-à-dire fournir les produits adaptés et abordables, les services et accompagnement, les solutions logistiques et financières", a expliqué le directeur général d’OCP Afrique, Tarik Shoho.
Il a indiqué que la filiale africaine a quatre chantiers prioritaires, à savoir l’amélioration de la fertilité et la productivité des sols africains à travers un offre de produits adaptés, la sécurisation de la production d’engrais compétitifs à proximité des grands bassins agricoles, la garantie de l’acheminement des intrants jusqu’aux agriculteurs et la contribution, aux côtés des agriculteurs africains, au développement d’écosystèmes agricoles durables.
Cette rencontre qui réunit plus de 400 participants venus de différents pays, permet d’échanger sur plusieurs thèmes dont "L’utilisation des engrais en Afrique subsaharienne : l’importance des corridors commerciaux", "Perspectives du marché subsaharienne" , "Transformer l’agriculture avec les engrais mélangés : Études de cas en Éthiopie", "Mécanisme africain de financement des engrais".
Engagé dans le développement de l’écosystème agricole sur le continent africain, le Groupe OCP est un des leaders mondiaux sur le marché des phosphates et un acteur incontournable du marché des engrais. Il soutient, depuis son lancement en 2010, la conférence "Argus FMB Africa fertiliser", un événement dédié à l’utilisation de l’engrais en Afrique.
Amak/kp
Lors de la première journée des travaux qui s’achèvent vendredi, les différents panélistes ont fait remarquer que tandis que 60% de la population africaine travaille dans le domaine agricole, "malheureusement", l’agriculture ne participe, pour la plupart des pays, qu’à 25% du produit intérieur brut (PIB).
Ils ont souligné également que l’Afrique souffre de la très faible utilisation des engrais. En moyenne, environ 15 kg d’engrais sont déployés à l’hectare sur les exploitations agricoles en Afrique, alors que la norme internationale est de 100 kg à l’hectare.
Pour atteindre l’objectif des 50 kg à l’hectare comme décidé en 2006 au cours d’un sommet de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) à Abuja, le Groupe OCP a alors créé une filiale africaine inaugurée au début de ce mois de février par le Roi Mohamed VI du Maroc.
"Notre objectif est de rendre l’agriculture africaine plus productive. Cette filiale va contribuer à relever le défi d’une agriculture structurée, performante et durable sur le continent africain en proposant aux agriculteurs tous les moyens de réussir, d’est-à-dire fournir les produits adaptés et abordables, les services et accompagnement, les solutions logistiques et financières", a expliqué le directeur général d’OCP Afrique, Tarik Shoho.
Il a indiqué que la filiale africaine a quatre chantiers prioritaires, à savoir l’amélioration de la fertilité et la productivité des sols africains à travers un offre de produits adaptés, la sécurisation de la production d’engrais compétitifs à proximité des grands bassins agricoles, la garantie de l’acheminement des intrants jusqu’aux agriculteurs et la contribution, aux côtés des agriculteurs africains, au développement d’écosystèmes agricoles durables.
Cette rencontre qui réunit plus de 400 participants venus de différents pays, permet d’échanger sur plusieurs thèmes dont "L’utilisation des engrais en Afrique subsaharienne : l’importance des corridors commerciaux", "Perspectives du marché subsaharienne" , "Transformer l’agriculture avec les engrais mélangés : Études de cas en Éthiopie", "Mécanisme africain de financement des engrais".
Engagé dans le développement de l’écosystème agricole sur le continent africain, le Groupe OCP est un des leaders mondiaux sur le marché des phosphates et un acteur incontournable du marché des engrais. Il soutient, depuis son lancement en 2010, la conférence "Argus FMB Africa fertiliser", un événement dédié à l’utilisation de l’engrais en Afrique.
Amak/kp