La Côte d’Ivoire a abrité du mercredi 24 au vendredi 26 février 2016, un atelier régional de l’Organisation internationale des bois tropicaux (OIBT). Lors de la cérémonie d’ouverture, le mercredi 24 février 2016 dans un hôtel au Plateau, M. Louis-André Dacoury-Tabley, ministre des Eaux et Forêts a exhorté les acteurs des pays concernés à prendre les mesures idoines pour lutter contre la disparition inexorable des forêts.
Le ministre Dacoury-Tabley, lors de son allocution, a fait l’état des lieux de la forêt ivoirienne autrefois luxuriante et qui n’est plus aujourd’hui que l’ombre d’elle-même. C’est pourquoi, il a exhorté tous les acteurs des différents pays invités afin qu’ils se remettent en cause pour redéfinir ensemble une nouvelle stratégie en matière d’exploitation forestière. En Côte d’Ivoire, le ministre a souligné qu’une réorientation de la politique forestière est nécessaire et devra s’intégrer dans le Programme du Président de la République 2016-2020 ainsi que dans le Plan National de Développement (PND) 2016-2020 en vue d’assurer une gestion durable des ressources naturelles. Ainsi, il s’agira, selon lui, pour son département d’entreprendre des actions de : gouvernance des ressources forestières, fauniques et des ressources en eau ; reconstitution et la stabilisation du patrimoine forestier ; renforcement de la préservation faunique ; mise en œuvre de la gestion intégrée des ressources en eau. Pour lui, pendant ces trois jours que dureront les travaux, il s’agira de réfléchir particulièrement sur les marchés nationaux, le commerce transfrontalier, le rôle du secteur informel au niveau des pays, le développement du commerce intra-africain du bois et produits dérivés tropicaux et les options pour la facilitation du commerce, ainsi que la stratégie nationale de l’industrialisation du bois en Côte d’Ivoire. Le ministre leur a donc demandé des analyses profondes et des recommandations pertinentes à la hauteur des défis à relever.
OG
Le ministre Dacoury-Tabley, lors de son allocution, a fait l’état des lieux de la forêt ivoirienne autrefois luxuriante et qui n’est plus aujourd’hui que l’ombre d’elle-même. C’est pourquoi, il a exhorté tous les acteurs des différents pays invités afin qu’ils se remettent en cause pour redéfinir ensemble une nouvelle stratégie en matière d’exploitation forestière. En Côte d’Ivoire, le ministre a souligné qu’une réorientation de la politique forestière est nécessaire et devra s’intégrer dans le Programme du Président de la République 2016-2020 ainsi que dans le Plan National de Développement (PND) 2016-2020 en vue d’assurer une gestion durable des ressources naturelles. Ainsi, il s’agira, selon lui, pour son département d’entreprendre des actions de : gouvernance des ressources forestières, fauniques et des ressources en eau ; reconstitution et la stabilisation du patrimoine forestier ; renforcement de la préservation faunique ; mise en œuvre de la gestion intégrée des ressources en eau. Pour lui, pendant ces trois jours que dureront les travaux, il s’agira de réfléchir particulièrement sur les marchés nationaux, le commerce transfrontalier, le rôle du secteur informel au niveau des pays, le développement du commerce intra-africain du bois et produits dérivés tropicaux et les options pour la facilitation du commerce, ainsi que la stratégie nationale de l’industrialisation du bois en Côte d’Ivoire. Le ministre leur a donc demandé des analyses profondes et des recommandations pertinentes à la hauteur des défis à relever.
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