La France a alloué 220 milliards fcfa d’appui budgétaire à la Côte d’Ivoire, sur 1.150 occtroyés depuis 2012, dans le cadre d’un contrat de désendettement et de développement (C2D), a annoncé lundi le président du comité bilatéral, Théophile Ahoua N’Doli, à Abidjan.
Cet appui budgétaire prévu pour la période allant de 2016 à 2020, est issu du second C2D entre les deux pays, dont "l’essentiel est affecté à des projets de routes, d’eau potable, d’agriculture, etc.", a souligné M. Ahoua.
Le directeur de cabinet du premier ministre ivoirien a par ailleurs relevé des difficultés dans la réalisation de certains projets dans un court délai.
A titre d’exemple, il a cité les cas des bidonvilles et du mont Péko (ouest ivoirien) qui s’inscrit dans un projet environnemental qui s’avère difficile à réaliser à cause des "30 à 40.000 personnes" installées illégalement dans cette forêt classée et dont le déguerpissement risque de provoquer "d’autres problèmes à la Côte d’Ivoire".
"Pour s’assurer que tout se passe bien nous nous retrouvons une fois par an pour faire le point", a-t-il affirmé, en présence du directeur de l’Agence française de développement (AFD).
Sur "plus de 2.000 milliards de FCFA" de "dette" de la Côte d’Ivoire, la France "a décidé d’annuler 600 milliards et transformer le reste en subventions", suite à l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative pour les Pays pauvres très endettés (PPTE) en juin 2012, a rappelé Ahoua Ndoli.
MYA, avec Michèle Irié
Cet appui budgétaire prévu pour la période allant de 2016 à 2020, est issu du second C2D entre les deux pays, dont "l’essentiel est affecté à des projets de routes, d’eau potable, d’agriculture, etc.", a souligné M. Ahoua.
Le directeur de cabinet du premier ministre ivoirien a par ailleurs relevé des difficultés dans la réalisation de certains projets dans un court délai.
A titre d’exemple, il a cité les cas des bidonvilles et du mont Péko (ouest ivoirien) qui s’inscrit dans un projet environnemental qui s’avère difficile à réaliser à cause des "30 à 40.000 personnes" installées illégalement dans cette forêt classée et dont le déguerpissement risque de provoquer "d’autres problèmes à la Côte d’Ivoire".
"Pour s’assurer que tout se passe bien nous nous retrouvons une fois par an pour faire le point", a-t-il affirmé, en présence du directeur de l’Agence française de développement (AFD).
Sur "plus de 2.000 milliards de FCFA" de "dette" de la Côte d’Ivoire, la France "a décidé d’annuler 600 milliards et transformer le reste en subventions", suite à l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative pour les Pays pauvres très endettés (PPTE) en juin 2012, a rappelé Ahoua Ndoli.
MYA, avec Michèle Irié