Toumodi, - Les populations de Toumodi sont privées d'eau depuis une semaine, une situation qui a entraîné un ralentissement des activités économiques, a constaté l’AIP sur place.
Depuis le 25 février, les populations sont privées d'eau potable et les activités économiques connaissent un ralentissement pour les uns, voir un arrêt pour les autres. "Nous sommes bien obligés de stopper nos activités et chercher de l'eau pour faire vivre nos familles. Dans tous les cas sans eau nos activités sont déjà au ralenti car les clientes sont rares dans nos salons et pour les quelques-unes qui viennent, nous n'avons pas d'eau pour nous occuper d'elles", se plaint une coiffeuse.
Les restauratrices vivent les mêmes difficultés. "C’est pendant le week-end que nous réalisons nos meilleurs chiffres d'affaires. Mais sans eau, nous n'avons pas pu faire la cuisine pour donner à manger à nos clients. C’est une véritable perte", dénoncent au "Maquis Village", un groupe de restauratrices.
Les boulangers ne sont pas logés à une meilleure enseigne. "Nous avons réduit notre production étant donné que nous n'avons pas eu suffisamment d'eau pour pétrir la pâte de farine" s’en plaint un pâtissier au centre-ville. Les points de lavage autos et motos ont quant à eux carrément fermé. "L’eau est notre instrument de travail. Sans eau, nous avons été obligés d'arrêter le travail depuis trois jours", ont-ils relevé. Cette pénurie a par ailleurs des répercussions sur les activités scolaires où certains établissements fonctionnent au ralenti avec une partie des effectifs, indique-t-on.
(AIP)
gba/kkf/ask
Depuis le 25 février, les populations sont privées d'eau potable et les activités économiques connaissent un ralentissement pour les uns, voir un arrêt pour les autres. "Nous sommes bien obligés de stopper nos activités et chercher de l'eau pour faire vivre nos familles. Dans tous les cas sans eau nos activités sont déjà au ralenti car les clientes sont rares dans nos salons et pour les quelques-unes qui viennent, nous n'avons pas d'eau pour nous occuper d'elles", se plaint une coiffeuse.
Les restauratrices vivent les mêmes difficultés. "C’est pendant le week-end que nous réalisons nos meilleurs chiffres d'affaires. Mais sans eau, nous n'avons pas pu faire la cuisine pour donner à manger à nos clients. C’est une véritable perte", dénoncent au "Maquis Village", un groupe de restauratrices.
Les boulangers ne sont pas logés à une meilleure enseigne. "Nous avons réduit notre production étant donné que nous n'avons pas eu suffisamment d'eau pour pétrir la pâte de farine" s’en plaint un pâtissier au centre-ville. Les points de lavage autos et motos ont quant à eux carrément fermé. "L’eau est notre instrument de travail. Sans eau, nous avons été obligés d'arrêter le travail depuis trois jours", ont-ils relevé. Cette pénurie a par ailleurs des répercussions sur les activités scolaires où certains établissements fonctionnent au ralenti avec une partie des effectifs, indique-t-on.
(AIP)
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