Abidjan - Les parent des sept femmes victimes de la crise postélectorale d’Abobo, tuées lors de la marche des femmes du 03 mars 2011, ont demandé jeudi lors de la cérémonie de commémoration tenue à la grande mosquée d’Abobo-Samaké, des actions fortes au gouvernement à l’endroit des défuntes et de leurs progénitures.
"Nous voulons immortaliser leur sacrifice par la réalisation d’un monument en leur honneur, nous demandons cela au gouvernement (…) et nous plaidons auprès du gouvernement pour que les orphelins laissés par ces femmes soient des pupilles de la République", a supplié Bamba Mamadou, président de l’Association des parents des femmes martyres d’Abobo.
Bamba Mamadou a auparavant loué la "bravoure" des filles, "de nos mamans qui ont donné de leur vie pour que triomphe la vérité, la justice et la démocratie", les comparant aux femmes qui ont marché sur Grand-Bassam le 24 décembre 1949. Il a révélé les actions du gouvernement déjà posées, citant leur décoration à titre posthume et le départ pour le pèlerinage à La Mecque de neuf de leurs parents, grâce au gouvernement.
Le 03 mars 2011, sept femmes de la commune d’Abobo ont perdu la vie lors d’une marche de protestation pour demander au Président battu, Laurent Gbagbo, de céder le pouvoir à Alassane Ouattara, tombant sous les balles des forces de l’ordre, rappelle-t-on.
akn/cmas
"Nous voulons immortaliser leur sacrifice par la réalisation d’un monument en leur honneur, nous demandons cela au gouvernement (…) et nous plaidons auprès du gouvernement pour que les orphelins laissés par ces femmes soient des pupilles de la République", a supplié Bamba Mamadou, président de l’Association des parents des femmes martyres d’Abobo.
Bamba Mamadou a auparavant loué la "bravoure" des filles, "de nos mamans qui ont donné de leur vie pour que triomphe la vérité, la justice et la démocratie", les comparant aux femmes qui ont marché sur Grand-Bassam le 24 décembre 1949. Il a révélé les actions du gouvernement déjà posées, citant leur décoration à titre posthume et le départ pour le pèlerinage à La Mecque de neuf de leurs parents, grâce au gouvernement.
Le 03 mars 2011, sept femmes de la commune d’Abobo ont perdu la vie lors d’une marche de protestation pour demander au Président battu, Laurent Gbagbo, de céder le pouvoir à Alassane Ouattara, tombant sous les balles des forces de l’ordre, rappelle-t-on.
akn/cmas