Abidjan - La ministre de la Solidarité, de la Cohésion sociale et de l’Indemnisation des victimes, Mariatou Koné, appelle les parents des victimes au "pardon, pour une Côte d’Ivoire réconciliée et unie".
"Nous sommes venus parler aux familles, les aider à pleurer et leur demander de pardonner pour une Côte d’Ivoire réconciliée, une Côte d’Ivoire unie", a exhorté Mme Koné, jeudi à Abobo (Abidjan), lors de la cérémonie de commémoration de la mort des sept femmes tuées le 03 mars 2011 dans cette commune, pendant la crise postélectorale de 2010-2011.
Selon la ministre, le pardon est possible "s’il y a la vérité, s’il y a la justice, si nous disons non à l’impunité ".
Elle a appelé les Ivoiriens à vivre ensemble et à se rapprocher les uns des autres, saluant l’image d’une "Côte d’ivoire unie" à cette cérémonie avec la présence de différents partis politiques, de guides religieux et de populations diverses.
Elle a invité les Ivoiriens à dire "non à la violence politique" et a qualifié cette cérémonie de "célébration de toutes les victimes de la crise postélectorale sans distinction ethnique, politique, religieuse", avant de se rendre au domicile de feu Bamba Nashamy , l’une des sept femmes victimes pour traduire la compassion du gouvernement à sa famille.
La crise postélectorale ivoirienne a fait quelque 3000 morts.
(AIP)
akn/akn/tm
"Nous sommes venus parler aux familles, les aider à pleurer et leur demander de pardonner pour une Côte d’Ivoire réconciliée, une Côte d’Ivoire unie", a exhorté Mme Koné, jeudi à Abobo (Abidjan), lors de la cérémonie de commémoration de la mort des sept femmes tuées le 03 mars 2011 dans cette commune, pendant la crise postélectorale de 2010-2011.
Selon la ministre, le pardon est possible "s’il y a la vérité, s’il y a la justice, si nous disons non à l’impunité ".
Elle a appelé les Ivoiriens à vivre ensemble et à se rapprocher les uns des autres, saluant l’image d’une "Côte d’ivoire unie" à cette cérémonie avec la présence de différents partis politiques, de guides religieux et de populations diverses.
Elle a invité les Ivoiriens à dire "non à la violence politique" et a qualifié cette cérémonie de "célébration de toutes les victimes de la crise postélectorale sans distinction ethnique, politique, religieuse", avant de se rendre au domicile de feu Bamba Nashamy , l’une des sept femmes victimes pour traduire la compassion du gouvernement à sa famille.
La crise postélectorale ivoirienne a fait quelque 3000 morts.
(AIP)
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