Tanda, Le préfet de Transua, Gonsan Adja Kio, a présenté mardi les condoléances du gouvernement aux familles de deux personnes ayant trouvé la mort dans un affrontement, lundi soir, entre des éléments des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) et des jeunes d’Assuéfry (Nord-Est), promettant que le « gouvernement ne restera pas inactif, mais prendra ses responsabilités » face à cette situation.
M. Adja Kio, qui a appelé les populations à rester sereines, a annoncé l’arrivée prochaine du ministre en charge de la Défense, Richard Donwahi, et celui des Ressources animales et halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani.
Le coordinateur régional de l’ONUCI à Bondoukou, Jean-Emile Nkirianuye, a aussi promis, à cette occasion, que son institution va travailler en coordination avec le gouvernement pour que « justice soit faite et les droits de l’homme respectés ».
Ces heurts sont partis d'une protestation de jeunes d’Assuéfry, dans le département de Transua, contre la rétention de leur production d’anacarde par des éléments des FRCI qui les accusaient de vouloir faire traverser leur produit à la frontière pour le revendre à 800 FCFA au Ghana contre 300 FCFA en Côte d’Ivoire.
Des échauffourées ont alors éclaté dans la nuit causant deux morts (une femme et un adolescent) et une dizaine de blessés parmi les populations dont des engins à deux roues ont également été incinérés.
(AIP)
si/aaa/tm
M. Adja Kio, qui a appelé les populations à rester sereines, a annoncé l’arrivée prochaine du ministre en charge de la Défense, Richard Donwahi, et celui des Ressources animales et halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani.
Le coordinateur régional de l’ONUCI à Bondoukou, Jean-Emile Nkirianuye, a aussi promis, à cette occasion, que son institution va travailler en coordination avec le gouvernement pour que « justice soit faite et les droits de l’homme respectés ».
Ces heurts sont partis d'une protestation de jeunes d’Assuéfry, dans le département de Transua, contre la rétention de leur production d’anacarde par des éléments des FRCI qui les accusaient de vouloir faire traverser leur produit à la frontière pour le revendre à 800 FCFA au Ghana contre 300 FCFA en Côte d’Ivoire.
Des échauffourées ont alors éclaté dans la nuit causant deux morts (une femme et un adolescent) et une dizaine de blessés parmi les populations dont des engins à deux roues ont également été incinérés.
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