Le porte-parole du gouvernement ivoirien, Bruno Nabagné Koné, a rendu public le mercredi 9 mars 2016, les décisions prises en conseil des ministres.
Koudou Jeannette, sœur cadette de Laurent Gbagbo, Philippe Attey, ex-directeur général de la Société de transport abidjanais (Sotra), N’Guessan Anoh Gilbert et Sansan Kouhao ont vu leurs avoirs dégelés entièrement. Quant à l’ex-directeur général du port autonome d’Abidjan, Marcel Gossio, ses avoirs ont été dégelés partiellement. C’est la décision prise en conseil des ministres sous la houlette d’Alassane Ouattara. Il ressort de ce même conseil des ministres, une décision de libération de prisonniers politiques intégrants le chiffre des 300 libérations annoncées fin décembre 2015. Il s’agit de 70 personnes, militants ou proches du Front populaire ivoirien (Fpi). Selon le porte-parole du gouvernement, le ministre de la Poste et de l’Economie numérique, Bruno Nabagné Koné, sur la liste des 300 personnes, 15 ne font l’objet d’aucune poursuite judiciaire, quand 17 sont inconnues des fichiers de la justice. Ce qui, pour solde de tout compte ramène à 268 détenus dont 33 déjà condamnés. 206 parmi elles « ne sont pas concernées par la crise post-électorale, mais sont poursuivies pour atteinte à la sureté de l’Etat et trouble à l’ordre public », a déclaré le porte-parole du gouvernement.
Saint-C.O
Koudou Jeannette, sœur cadette de Laurent Gbagbo, Philippe Attey, ex-directeur général de la Société de transport abidjanais (Sotra), N’Guessan Anoh Gilbert et Sansan Kouhao ont vu leurs avoirs dégelés entièrement. Quant à l’ex-directeur général du port autonome d’Abidjan, Marcel Gossio, ses avoirs ont été dégelés partiellement. C’est la décision prise en conseil des ministres sous la houlette d’Alassane Ouattara. Il ressort de ce même conseil des ministres, une décision de libération de prisonniers politiques intégrants le chiffre des 300 libérations annoncées fin décembre 2015. Il s’agit de 70 personnes, militants ou proches du Front populaire ivoirien (Fpi). Selon le porte-parole du gouvernement, le ministre de la Poste et de l’Economie numérique, Bruno Nabagné Koné, sur la liste des 300 personnes, 15 ne font l’objet d’aucune poursuite judiciaire, quand 17 sont inconnues des fichiers de la justice. Ce qui, pour solde de tout compte ramène à 268 détenus dont 33 déjà condamnés. 206 parmi elles « ne sont pas concernées par la crise post-électorale, mais sont poursuivies pour atteinte à la sureté de l’Etat et trouble à l’ordre public », a déclaré le porte-parole du gouvernement.
Saint-C.O