Yamoussoukro - Les collectivités territoriales (CT) ont été invitées vendredi à Yamoussoukro à s’approprier les questions relatives à l’effectivité du transfert des compétences en matière d’hydraulique villageoise, et à adopter une stratégie pour repositionner la question de l’eau et de l’assainissement parmi les premières priorités du développement local.
Au terme d’un atelier de de formation sur l’implication juridique financière et institutionnelle de la gestion du service public et de l’eau potable en Côte d’Ivoire, les participants ont recommandé que les CT, à travers leurs différentes faîtières, fassent du lobbying au plus haut niveau de l’État en vue de booster la mise en œuvre effective du transfert des compétences en matière d’hydraulique et d’assainissement.
Il a été suggéré aux autorités préfectorales, les élus locaux et les responsables des collectivités territoriales de Tonpki et de l’Indénié-Djuablin ayant pris part à l’atelier de faire du lobbying à travers les faîtières au plus haut niveau de l’État en vue de booster la mise en œuvre effective du transfert des compétences en matière d’hydraulique et d’assainissement.
Les participants ont demandé à l’État la mise en œuvre de la nouvelle loi sur la décentralisation, la hausse du budget alloué au secteur afin de faire de l’eau une priorité nationale et d’activer le fonds de soutien à l’hydraulique rurale inscrit dans le PND 2016-2020.
Aussi, ont-ils préconisé une étude du programme hydraulique et assainissement pour le millénaire (PHAM) en vue de proposer des modes d’entretien et de maintenance pour rendre viables les investissements dans le secteur de l’hydraulique en milieu rural et de s’autofinancer.
L’atelier de sensibilisation et de formation des élus locaux des régions du Tonkpi et de l’Indénié-Djuablin deux régions pilotes est organisé par l’Office national de l’eau potable (ONEP). Il s’inscrit dans le cadre du programme hydraulique et assainissement pour le millénaire (PHAM) financé par l’Union européenne et vise à contribuer à réduire la pauvreté et à améliorer la santé des populations par un accès à de meilleurs services sociaux de base en matière d’eau et d’assainissement.
(AIP)
nam/tm
Au terme d’un atelier de de formation sur l’implication juridique financière et institutionnelle de la gestion du service public et de l’eau potable en Côte d’Ivoire, les participants ont recommandé que les CT, à travers leurs différentes faîtières, fassent du lobbying au plus haut niveau de l’État en vue de booster la mise en œuvre effective du transfert des compétences en matière d’hydraulique et d’assainissement.
Il a été suggéré aux autorités préfectorales, les élus locaux et les responsables des collectivités territoriales de Tonpki et de l’Indénié-Djuablin ayant pris part à l’atelier de faire du lobbying à travers les faîtières au plus haut niveau de l’État en vue de booster la mise en œuvre effective du transfert des compétences en matière d’hydraulique et d’assainissement.
Les participants ont demandé à l’État la mise en œuvre de la nouvelle loi sur la décentralisation, la hausse du budget alloué au secteur afin de faire de l’eau une priorité nationale et d’activer le fonds de soutien à l’hydraulique rurale inscrit dans le PND 2016-2020.
Aussi, ont-ils préconisé une étude du programme hydraulique et assainissement pour le millénaire (PHAM) en vue de proposer des modes d’entretien et de maintenance pour rendre viables les investissements dans le secteur de l’hydraulique en milieu rural et de s’autofinancer.
L’atelier de sensibilisation et de formation des élus locaux des régions du Tonkpi et de l’Indénié-Djuablin deux régions pilotes est organisé par l’Office national de l’eau potable (ONEP). Il s’inscrit dans le cadre du programme hydraulique et assainissement pour le millénaire (PHAM) financé par l’Union européenne et vise à contribuer à réduire la pauvreté et à améliorer la santé des populations par un accès à de meilleurs services sociaux de base en matière d’eau et d’assainissement.
(AIP)
nam/tm