Abidjan, Des investisseurs français, sur initiative de la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM), réfléchissent à Abidjan, sur les indicateurs de l’évaluation des recherches du capital-investissement en Afrique et les sorties par le canal de la Bourse, à l’occasion de la première réunion en Afrique de l’Association française des investisseurs pour la croissance (AFIC).
Selon le directeur général de la BRVM, Edoh Kossi Amenounvé, il s’agit pour les participants d’apprécier l’évolution « positive et envisageable » des économies africaines afin de permettre aux bourses africaines et à sa structure en particulier de jouer « pleinement » leur partition dans la recherche de solutions à la problématique du financement des entreprises qui préoccupe depuis plusieurs années les Etats africains.
Les obstacles au financement des entreprises, a-t-il indiqué, sont le climat institutionnel des affaires, le mode de gouvernance et de gestion des entreprises et le degré de développement du secteur financier en dehors du paramètre bancaire. Il a donc préconisé une impulsion des réformes pour l’amélioration de la collecte de l’épargne à long terme, la création d’un nouveau compartiment dédié aux PME et l’accompagnement des fonds d’investissement pour la sortie de leurs participations par la Bourse.
Le représentant du ministre auprès du Premier ministre chargé du budget, Traoré Karim, a salué la décision de l’AFIC de choisir la Côte d’Ivoire pour abriter sa première réunion en Afrique et rappelé qu’elle s’inscrit dans la volonté du gouvernement de faire su secteur privé, un partenaire important pour l’émergence du pays à l’horizon 2020.
(AIP)
fmo/kam
Selon le directeur général de la BRVM, Edoh Kossi Amenounvé, il s’agit pour les participants d’apprécier l’évolution « positive et envisageable » des économies africaines afin de permettre aux bourses africaines et à sa structure en particulier de jouer « pleinement » leur partition dans la recherche de solutions à la problématique du financement des entreprises qui préoccupe depuis plusieurs années les Etats africains.
Les obstacles au financement des entreprises, a-t-il indiqué, sont le climat institutionnel des affaires, le mode de gouvernance et de gestion des entreprises et le degré de développement du secteur financier en dehors du paramètre bancaire. Il a donc préconisé une impulsion des réformes pour l’amélioration de la collecte de l’épargne à long terme, la création d’un nouveau compartiment dédié aux PME et l’accompagnement des fonds d’investissement pour la sortie de leurs participations par la Bourse.
Le représentant du ministre auprès du Premier ministre chargé du budget, Traoré Karim, a salué la décision de l’AFIC de choisir la Côte d’Ivoire pour abriter sa première réunion en Afrique et rappelé qu’elle s’inscrit dans la volonté du gouvernement de faire su secteur privé, un partenaire important pour l’émergence du pays à l’horizon 2020.
(AIP)
fmo/kam