Le ministre de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle (ETFP), Paul Koffi Koffi, a décliné jeudi à Abidjan, son ambition de faire dudit secteur un ordre d’enseignement de premier choix.
Invité de la 22ème édition des rendez-vous du gouvernement portant sur le thème « Quel dispositif d’enseignement technique et de formation professionnelle pour une Côte d’Ivoire émergente ?», Paul Koffi Koffi, a estimé qu’un assainissement de ce secteur s’impose pour qu’il retrouve son lustre d’antan et ne pas paraître en arrière garde du domaine de l’Education/Formation. « Il faut un assainissement du secteur de l’enseignement technique pour en faire un ordre d’enseignement de premier choix, pour que tous ceux qui y vont aient l’assurance d’y aller et trouver un emploi », a-t-il indiqué, soulignant que c’est un secteur d’avenir.
Le ministre a mis en relief la nécessité de la création d’un capital humain de qualité, nécessaire à l’émergence de la Côte d’Ivoire. Ce qui, selon lui, passe par la mise en œuvre d’un certain nombre de réformes. « Avec la révolution technologique et les innovations dans les domaines de la science et la technologie, les besoins du marché du travail ont énormément évolué. De nombreux défis doivent être relevés afin que la formation et l’enseignement proposés soient en adéquation avec le monde professionnel », a-t-il exprimé.
Au regard du dispositif actuel de formation, notamment 62 établissements publics de formation, 381 établissements privés de formations agréées, formant plus de 100.000 apprenants, l’émissaire du gouvernement a énoncé quelques grands chantiers qui visent à révolutionner le secteur conformément à l’ambition du gouvernement.
Il s’agit notamment de la mise en place d’un dispositif de transformation des établissements de l’ETFP en centre de formation-production, du développement d’une cité de l’ETFP à Yopougon, de la création des technopoles de services à Koumassi et des technopoles des innovations technologiques au Km 24, de l’amélioration de la gouvernance de concours, des examens, de l’orientation et des bourses (…).
(AIP)
gak/cmas
Invité de la 22ème édition des rendez-vous du gouvernement portant sur le thème « Quel dispositif d’enseignement technique et de formation professionnelle pour une Côte d’Ivoire émergente ?», Paul Koffi Koffi, a estimé qu’un assainissement de ce secteur s’impose pour qu’il retrouve son lustre d’antan et ne pas paraître en arrière garde du domaine de l’Education/Formation. « Il faut un assainissement du secteur de l’enseignement technique pour en faire un ordre d’enseignement de premier choix, pour que tous ceux qui y vont aient l’assurance d’y aller et trouver un emploi », a-t-il indiqué, soulignant que c’est un secteur d’avenir.
Le ministre a mis en relief la nécessité de la création d’un capital humain de qualité, nécessaire à l’émergence de la Côte d’Ivoire. Ce qui, selon lui, passe par la mise en œuvre d’un certain nombre de réformes. « Avec la révolution technologique et les innovations dans les domaines de la science et la technologie, les besoins du marché du travail ont énormément évolué. De nombreux défis doivent être relevés afin que la formation et l’enseignement proposés soient en adéquation avec le monde professionnel », a-t-il exprimé.
Au regard du dispositif actuel de formation, notamment 62 établissements publics de formation, 381 établissements privés de formations agréées, formant plus de 100.000 apprenants, l’émissaire du gouvernement a énoncé quelques grands chantiers qui visent à révolutionner le secteur conformément à l’ambition du gouvernement.
Il s’agit notamment de la mise en place d’un dispositif de transformation des établissements de l’ETFP en centre de formation-production, du développement d’une cité de l’ETFP à Yopougon, de la création des technopoles de services à Koumassi et des technopoles des innovations technologiques au Km 24, de l’amélioration de la gouvernance de concours, des examens, de l’orientation et des bourses (…).
(AIP)
gak/cmas