Comment peut-on appeler quelqu’un qui parle peu mais agit beaucoup ?
« C’est un homme d’action »! Répondront les uns. D’autres répondront que c’est un homme pragmatique. D’autres encore, habitués du cinéma et autres séries télévisées, diront : « C’est « Action Man » ».
« Action Man », héros des grands écrans dont les actes de bravoure le disputent à son intelligence d’homme de terrain.
Les qualités de « Action Man », Nicolas Yssouf DJIBO les possède.
Lui qui préside aux destinées de la Cham¬bre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire. Depuis le 13 décembre 2013.
Lui qui, en quelques années seulement, a su s’imposer grâce à son sens élevé des relations humaines et à ses visions modernes de la gestion de la chose publique.
Lui qui, modeste, courtois, réservé et fin d’esprit, a inscrit son action dans l’efficacité. En consolidant les outils pour aider les entreprises et leur proposer des solutions aussi bien prépayées qu’à la carte.
De fait, la Chambre de Commerce et d'Industrie de Côte d'Ivoire (CCI-CI) est un organisme chargé de représenter les intérêts des entreprises commerciales, industrielles et de service, d'assurer la formation des entrepreneurs et d'apporter un appui aux entreprises. Sa création remonte au 23 décembre 1908, lorsque le Gouverneur général institue, par arrêté, à Grand-Bassam, la première Chambre de Commerce de Côte d'Ivoire.
Le 17 mai 1963, les Chambres d'industrie et les Chambres d'agriculture sont organisées séparément par décret. Toutefois, la forte imbrication entre l'industrie et le commerce amène, le 8 janvier 1992, le gouvernement ivoirien à regrouper ces activités dans une même chambre placée sous la tutelle du Ministère en charge du Commerce et du Ministère en charge de l'Industrie.
Sa circonscription couvre tout le territoire national. Elle est placée sous l’autorité d'un Président et d'une Assemblée générale forte de 156 membres, chefs d'entreprise ou cadres dirigeants, élus par leurs pairs. Elle dispose d'une administration permanente et de délégations régionales assurant une représentation dans les 19 régions de Côte d’Ivoire, lui permettant ainsi de prendre en compte les préoccupations de tous les opérateurs économiques.
Le bilan de Nicolas DJIBO à la tête de l’institution ? Aussi remarquable que flatteur. Malgré les modiques moyens à sa disposition. Pouvait-il en être autrement pour ce bilan?
Né le 16 août 1949 à Bouaké, Nicolas Yssouf DJIBO, précédemment premier vice-président de la chambre consulaire, obtient son Bac D en 1968 avec la mention « Bien », puis une maîtrise en économétrie à l’université de la Sorbonne, un Diplôme d’études supérieures (Des) en Gestion et un Certificat de perfectionnement en administration.
Après avoir débuté sa carrière professionnelle à la Socitas, il devient Directeur général des Etablissements Robert Gonfreville (ERG) et assure également la représentation de la filière textile de transformation de la fibre de coton en Côte d’Ivoire (COTIVO, FTG, UTEXI).
Membre du Conseil d’administration du Port Autonome d’Abidjan de 2002 à 2006, il intègre le Conseil d’administration de la Banque nationale d’investissement (BNI) en 2007.
L’actuel Président du comité exécutif de la Fondation « Ariel Glaser », fondation internationale qui a pour mission de prévenir l’infection à VIH pédiatrique et éradiquer le Sida pédiatrique en Côte d’Ivoire, ne recule devant rien.
La Côte d’Ivoire étant résolument engagée dans la poursuite d’une croissance soutenue, Nicolas DJIBO s’est fait fort, au cours de l’année écoulée, de soutenir et entreprendre des réformes structurelles et organisationnelles qui ont consolidé le cadre des affaires de plus en plus propice au développement d’un Secteur Privé fort.
Conscient que dans le PND 2016-2020, le Secteur Privé a un rôle moteur, « Action Man » veut prendre toute sa part. Avec la Chambre de Commerce et d’Industries.
C’est pourquoi, en héraut, Nicolas DJIBO, insiste désormais sur la contribution des entreprises ivoiriennes pour faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020 en annonçant un forum des hébergeurs.
Dans son programme, il veut, en effet, faire un focus sur l’hébergement qui concerne le circuit touristique de la Côte d’Ivoire. Objectif ? Renforcer la capacité des hébergeurs, leur apprendre les nouvelles techniques hôtelières de manière à préparer les différents événements qui sont annoncés en Côte d’Ivoire, notamment des foires en 2016-2017 et la Coupe d’Afrique des Nations de Football en 2021.
La création d’emplois fait aussi partie des priorités du Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie, puisque par l’incitation à l’auto-entrepreneuriat, « Action Man » a mis sur pied un plan dédié aux jeunes diplômés et à ceux qui veulent entreprendre, de manière à les aider à créer leurs propres entreprises.
Homme de terrain, « Action Man » n’entend pas s’arrêter en si bon chemin.
Infatigable travailleur, il inscrit sur son agenda d’autres nombreux chantiers dans les domaines de l’immobilier, des hydrocarbures, des infrastructures de transport, de l’audiovisuel, des médias et de l’énergie.
Notre héros souhaite ainsi consolider le positionnement de son institution comme un des maillons essentiels de la vie économique nationale. Pour ce faire, il s’agira d’accroître les compétences à la disposition des entreprises et des collectivités territoriales, développer, améliorer et gérer les services et infrastructures d’intérêt collectif et renforcer la concertation et la coopération entre les acteurs… Quel souffle !
Sur la route de l’émergence 2020, comment ne pas consacrer un numéro à cet homme d’action et à son organisation pour nous dérouler son plan d’action ?
TWINS N°8 lui ouvre ses pages. Pour nous communiquer son ardeur au travail. Son abnégation et sa générosité dans l’effort.
« Action Man » en action ! Le film peut commencer.
Bon spectacle ! Que dis-je ?
Bonne lecture et à très bientôt.
ZOKO SEBE
zokosebe@yahoo.fr
« C’est un homme d’action »! Répondront les uns. D’autres répondront que c’est un homme pragmatique. D’autres encore, habitués du cinéma et autres séries télévisées, diront : « C’est « Action Man » ».
« Action Man », héros des grands écrans dont les actes de bravoure le disputent à son intelligence d’homme de terrain.
Les qualités de « Action Man », Nicolas Yssouf DJIBO les possède.
Lui qui préside aux destinées de la Cham¬bre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire. Depuis le 13 décembre 2013.
Lui qui, en quelques années seulement, a su s’imposer grâce à son sens élevé des relations humaines et à ses visions modernes de la gestion de la chose publique.
Lui qui, modeste, courtois, réservé et fin d’esprit, a inscrit son action dans l’efficacité. En consolidant les outils pour aider les entreprises et leur proposer des solutions aussi bien prépayées qu’à la carte.
De fait, la Chambre de Commerce et d'Industrie de Côte d'Ivoire (CCI-CI) est un organisme chargé de représenter les intérêts des entreprises commerciales, industrielles et de service, d'assurer la formation des entrepreneurs et d'apporter un appui aux entreprises. Sa création remonte au 23 décembre 1908, lorsque le Gouverneur général institue, par arrêté, à Grand-Bassam, la première Chambre de Commerce de Côte d'Ivoire.
Le 17 mai 1963, les Chambres d'industrie et les Chambres d'agriculture sont organisées séparément par décret. Toutefois, la forte imbrication entre l'industrie et le commerce amène, le 8 janvier 1992, le gouvernement ivoirien à regrouper ces activités dans une même chambre placée sous la tutelle du Ministère en charge du Commerce et du Ministère en charge de l'Industrie.
Sa circonscription couvre tout le territoire national. Elle est placée sous l’autorité d'un Président et d'une Assemblée générale forte de 156 membres, chefs d'entreprise ou cadres dirigeants, élus par leurs pairs. Elle dispose d'une administration permanente et de délégations régionales assurant une représentation dans les 19 régions de Côte d’Ivoire, lui permettant ainsi de prendre en compte les préoccupations de tous les opérateurs économiques.
Le bilan de Nicolas DJIBO à la tête de l’institution ? Aussi remarquable que flatteur. Malgré les modiques moyens à sa disposition. Pouvait-il en être autrement pour ce bilan?
Né le 16 août 1949 à Bouaké, Nicolas Yssouf DJIBO, précédemment premier vice-président de la chambre consulaire, obtient son Bac D en 1968 avec la mention « Bien », puis une maîtrise en économétrie à l’université de la Sorbonne, un Diplôme d’études supérieures (Des) en Gestion et un Certificat de perfectionnement en administration.
Après avoir débuté sa carrière professionnelle à la Socitas, il devient Directeur général des Etablissements Robert Gonfreville (ERG) et assure également la représentation de la filière textile de transformation de la fibre de coton en Côte d’Ivoire (COTIVO, FTG, UTEXI).
Membre du Conseil d’administration du Port Autonome d’Abidjan de 2002 à 2006, il intègre le Conseil d’administration de la Banque nationale d’investissement (BNI) en 2007.
L’actuel Président du comité exécutif de la Fondation « Ariel Glaser », fondation internationale qui a pour mission de prévenir l’infection à VIH pédiatrique et éradiquer le Sida pédiatrique en Côte d’Ivoire, ne recule devant rien.
La Côte d’Ivoire étant résolument engagée dans la poursuite d’une croissance soutenue, Nicolas DJIBO s’est fait fort, au cours de l’année écoulée, de soutenir et entreprendre des réformes structurelles et organisationnelles qui ont consolidé le cadre des affaires de plus en plus propice au développement d’un Secteur Privé fort.
Conscient que dans le PND 2016-2020, le Secteur Privé a un rôle moteur, « Action Man » veut prendre toute sa part. Avec la Chambre de Commerce et d’Industries.
C’est pourquoi, en héraut, Nicolas DJIBO, insiste désormais sur la contribution des entreprises ivoiriennes pour faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020 en annonçant un forum des hébergeurs.
Dans son programme, il veut, en effet, faire un focus sur l’hébergement qui concerne le circuit touristique de la Côte d’Ivoire. Objectif ? Renforcer la capacité des hébergeurs, leur apprendre les nouvelles techniques hôtelières de manière à préparer les différents événements qui sont annoncés en Côte d’Ivoire, notamment des foires en 2016-2017 et la Coupe d’Afrique des Nations de Football en 2021.
La création d’emplois fait aussi partie des priorités du Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie, puisque par l’incitation à l’auto-entrepreneuriat, « Action Man » a mis sur pied un plan dédié aux jeunes diplômés et à ceux qui veulent entreprendre, de manière à les aider à créer leurs propres entreprises.
Homme de terrain, « Action Man » n’entend pas s’arrêter en si bon chemin.
Infatigable travailleur, il inscrit sur son agenda d’autres nombreux chantiers dans les domaines de l’immobilier, des hydrocarbures, des infrastructures de transport, de l’audiovisuel, des médias et de l’énergie.
Notre héros souhaite ainsi consolider le positionnement de son institution comme un des maillons essentiels de la vie économique nationale. Pour ce faire, il s’agira d’accroître les compétences à la disposition des entreprises et des collectivités territoriales, développer, améliorer et gérer les services et infrastructures d’intérêt collectif et renforcer la concertation et la coopération entre les acteurs… Quel souffle !
Sur la route de l’émergence 2020, comment ne pas consacrer un numéro à cet homme d’action et à son organisation pour nous dérouler son plan d’action ?
TWINS N°8 lui ouvre ses pages. Pour nous communiquer son ardeur au travail. Son abnégation et sa générosité dans l’effort.
« Action Man » en action ! Le film peut commencer.
Bon spectacle ! Que dis-je ?
Bonne lecture et à très bientôt.
ZOKO SEBE
zokosebe@yahoo.fr