Des propriétaires de camions semi remorques, réputés pour le transport de balles de coton, des graines de coton, du coton graine bords champs et engrais de la commune de Korhogo au Nord de la Côte d’Ivoire veulent paralyser la circulation les jours à venir si leurs préoccupations ne sont pas prises en compote. A savoir la suspension immédiate des prélèvements financiers effectuées par les services des impôts , la société cotonnière COIC et le haut commissaire du transport sur le côut du transport des ces produits agricoles dont la dernière facture en date est de 17 millions FCFA. Ils l’ont exprimé au cours d’un point de presse le 30 mars 2015. Nous n’en voulons par car ces prélèvements financiers supplémentaires et injustifiés viennent tuer le transport au Nord ont déclaré Soro Kanigui, Traoré Badjemory et Sanogo Moussa portes paroles des transporteurs mecontents regroupés au sein des syndicales union des transporteurs de Côte d’Ivoire (UNITRACI), syndicat national des voyageurs et marchandises de Côte d’Ivoire (SYNVMCI) et le syndicat national des transports terrestres de Côte d’Ivoire (SYNTTCI). Alors que nos collègues transporteurs des sociétés cotonnières SECO de Ouangolodougou, Boundiali d’Ivoire coton et CIDT de Bouaké ne sont pas touchés par ces retenues AIRSI du contribuable des impôts de leurs régions. « La procédure est entachée d’irrégularités car aucun document comme un reçu relatif à ces prélèvements financiers ne nous est adressés en retour par les services des impôts de la région du poro » ont ils souligné Nous interpelons le ministre de l’économie et du budget a avoir un œil regardant sur ce qui se trame à korhogo au risque de paralyser les jours prochains la circulation.
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