ABIDJAN - Le gouvernement ivoirien vient de lancer la troisième phase des travaux de réalisation d’un réseau national de haut débit visant à déployer une infrastructure de fibres optiques d’une longueur totale de 7.000 km sur toute l’étendue du territoire national et reliant les différents sites de l’administration publique.
Selon une note d’information de l’Agence nationale du service universel des télécoms/Tic (Ansut) mardi, l’autorisation a été donnée à l’opérateur français Bouygues et ses partenaires pour le lancement des travaux qui devraient s’achever en 2017.
Une séance de travail et de concertation à cet effet s’est tenue le 12 avril dans les locaux de l’Ansut avec les employés de Bouygues, Sagem Com et Polyconseil en vue "d’identifier ensemble les facteurs clés de succès du projet et de poser les jalons de la collaboration", selon la note d’information.
Bouygues et ses partenaires doivent réaliser 5.013 km de fibres optiques.
Les deux premières phases du projet, lancées en 2013, ont été financées en partie et réalisées par la société chinoise Huawei Technologies.
Elles portaient sur le déploiement d’une artère de fibre optique sur l’axe San Pedro-Tabou (sud-ouest)-Man-Odiénné-Korhogo-Ferkéssédougou (nord), long de 1.400 km d’une part, et d’autre part sur l’axe Abidjan (sud)-Bondoukou-Bouna (nord-est) long de 549 km.
Le projet d’un coût global de 106,8 milliards de francs CFA (163 millions d’euros) fait partie d’un plan de développement des télécommunications élaboré par le gouvernement ivoirien.
Le projet devrait permettre de connecter toutes les préfectures et sous-préfectures au réseau de télécommunication nationale. Pour les entreprises et les populations, l’infrastructure servira, entre autres, de support de transmission haut débit aux opérateurs de téléphonie, aux fournisseurs d’accès internet, au projet de gouvernance électronique, à la diffusion de la télévision numérique.
Après l’achèvement du projet, l’administration publique, les établissements de santé, d’éducation, les services de défense et la population bénéficieront de la télécommunication à grande vitesse, sécurisée et de haute qualité ainsi qu’un canal de transmission par réseau à haut débit.
Selon une note d’information de l’Agence nationale du service universel des télécoms/Tic (Ansut) mardi, l’autorisation a été donnée à l’opérateur français Bouygues et ses partenaires pour le lancement des travaux qui devraient s’achever en 2017.
Une séance de travail et de concertation à cet effet s’est tenue le 12 avril dans les locaux de l’Ansut avec les employés de Bouygues, Sagem Com et Polyconseil en vue "d’identifier ensemble les facteurs clés de succès du projet et de poser les jalons de la collaboration", selon la note d’information.
Bouygues et ses partenaires doivent réaliser 5.013 km de fibres optiques.
Les deux premières phases du projet, lancées en 2013, ont été financées en partie et réalisées par la société chinoise Huawei Technologies.
Elles portaient sur le déploiement d’une artère de fibre optique sur l’axe San Pedro-Tabou (sud-ouest)-Man-Odiénné-Korhogo-Ferkéssédougou (nord), long de 1.400 km d’une part, et d’autre part sur l’axe Abidjan (sud)-Bondoukou-Bouna (nord-est) long de 549 km.
Le projet d’un coût global de 106,8 milliards de francs CFA (163 millions d’euros) fait partie d’un plan de développement des télécommunications élaboré par le gouvernement ivoirien.
Le projet devrait permettre de connecter toutes les préfectures et sous-préfectures au réseau de télécommunication nationale. Pour les entreprises et les populations, l’infrastructure servira, entre autres, de support de transmission haut débit aux opérateurs de téléphonie, aux fournisseurs d’accès internet, au projet de gouvernance électronique, à la diffusion de la télévision numérique.
Après l’achèvement du projet, l’administration publique, les établissements de santé, d’éducation, les services de défense et la population bénéficieront de la télécommunication à grande vitesse, sécurisée et de haute qualité ainsi qu’un canal de transmission par réseau à haut débit.