Après les violences qui ont eu lieu sur le campus de l’Université Felix Houphouët Boigny la semaine dernière, le Gouvernement a tenu à apporter des clarifications sur ces événements qui ont alimenté les conversations au sein de la population et sur les réseaux sociaux.
Le porte parole du Gouvernement, le ministre de la Poste et de l’Economie numérique Bruno Koné, dans son point de presse hebdomadaire après le Conseil des ministre, a précisé que les enquêtes diligentées à la suite des violences enregistrées sur le campus, indiquent « qu’il n’y a eu aucun cas de viol » lors de ces violences. Il a toutefois indiqué que le Gouvernement reste ouvert á toute preuve contraire. « Le Gouvernement reste en attente de personnes pouvant prouver que cela s’est passé », a dit le ministre
Le porte-parole du Gouvernement, Bruno Koné, a expliqué que les violences qui ont lieu à l’université FHB la semaine dernière sont le fait de « certaines personnes qui ont voulu agiter un chiffon politique dans des buts politiques ». Car dira-t-il « les discussions étaient en cours pour faire en sorte que cela (la réquisition des résidences universitaires en vue des jeux de la francophonie) perturbe le moins possible les cours ».
Selon le ministre de la poste et de l’Economie numérique, « il n’y avait pas de raison de s’agiter ni de procéder à des casses ». Ce d’autant plus qu’aucune circulaire n’indique nulle part que les étudiants devront quitter les résidences universitaires. En plus ajoutera-t-il les discussions se déroulent dans un cadre défini par le Premier ministre et regroupant les différents ministères concernés ainsi que les associations et syndicats d’étudiants. Pour le porte-parole du Gouvernement il y’aurait eu velléité de manipulation politique. Chose que le Gouvernement ne saurait accepté. « Le Gouvernement fera tout pour accompagner le mieux possible les étudiants dans leurs études, mais nous n’accepterons pas que la chienlit s’installe sur les campus universitaires », s’est-il-voulu catégorique. Pour clore le chapitre université, Bruno Koné a annoncé l’octroi par le Gouvernement de 1,7 milliard de F CFA aux UFR de médecine et de Pharmacie et Biologie.
Pour rappel, des violences qui ont opposé des étudiants de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI), principal syndicat d’étudiants et les forces de police, faisant plusieurs blessés. A l’issue de ces violences plusieurs étudiants, dont le Secrétaire Général dudit syndicat, Fulgence Assi Assi, ont été arrêtés et incarcérés à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA).
Elisée B.
Le porte parole du Gouvernement, le ministre de la Poste et de l’Economie numérique Bruno Koné, dans son point de presse hebdomadaire après le Conseil des ministre, a précisé que les enquêtes diligentées à la suite des violences enregistrées sur le campus, indiquent « qu’il n’y a eu aucun cas de viol » lors de ces violences. Il a toutefois indiqué que le Gouvernement reste ouvert á toute preuve contraire. « Le Gouvernement reste en attente de personnes pouvant prouver que cela s’est passé », a dit le ministre
Le porte-parole du Gouvernement, Bruno Koné, a expliqué que les violences qui ont lieu à l’université FHB la semaine dernière sont le fait de « certaines personnes qui ont voulu agiter un chiffon politique dans des buts politiques ». Car dira-t-il « les discussions étaient en cours pour faire en sorte que cela (la réquisition des résidences universitaires en vue des jeux de la francophonie) perturbe le moins possible les cours ».
Selon le ministre de la poste et de l’Economie numérique, « il n’y avait pas de raison de s’agiter ni de procéder à des casses ». Ce d’autant plus qu’aucune circulaire n’indique nulle part que les étudiants devront quitter les résidences universitaires. En plus ajoutera-t-il les discussions se déroulent dans un cadre défini par le Premier ministre et regroupant les différents ministères concernés ainsi que les associations et syndicats d’étudiants. Pour le porte-parole du Gouvernement il y’aurait eu velléité de manipulation politique. Chose que le Gouvernement ne saurait accepté. « Le Gouvernement fera tout pour accompagner le mieux possible les étudiants dans leurs études, mais nous n’accepterons pas que la chienlit s’installe sur les campus universitaires », s’est-il-voulu catégorique. Pour clore le chapitre université, Bruno Koné a annoncé l’octroi par le Gouvernement de 1,7 milliard de F CFA aux UFR de médecine et de Pharmacie et Biologie.
Pour rappel, des violences qui ont opposé des étudiants de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI), principal syndicat d’étudiants et les forces de police, faisant plusieurs blessés. A l’issue de ces violences plusieurs étudiants, dont le Secrétaire Général dudit syndicat, Fulgence Assi Assi, ont été arrêtés et incarcérés à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA).
Elisée B.