Les enfants ont vibré aux sons des musiques urbaines avec leurs idoles lors de la journée « Femua kids » qui leur a été dédiée le 20 avril 2016.
Venus spécialement de différents orphelinats de la ville d’Abidjan, ces gosses étaient nombreux à participer au Femua des enfants dénommé « Femua kids ». C’était le mercredi 20 avril 2016, lors de la journée spéciale qui leur a été dédiée à la 9e Festival des musiques urbaines d’Anoumabo (Femua). Les enfants ont communié avec le groupe Magique System et plusieurs autres artistes. Tout heureux et débordant de joie, ces gosses ont pris d’assaut le village d’Anoumabo qui abrite l’espace du Festival. Et c’est dans une liesse populaire qu’ils ont scandé les chansons de leur idole tout en esquissant des pas de danse avec les Gaou magiciens. Ce, en reprenant en chœur les titres à succès du groupe Magique Système qui a tenu a égaillé ses spectateurs du jour. L’objectif de cette journée « Femua kids » est de semer l’amour et la de donner la joie de vivre aux tout-petits. Au-delà de permettre aux enfants de toutes les couches sociales de bénéficier des mêmes privilèges, « On a mis cela gratuitement à leur disposition et nous sommes très contents de le faire. Nous n’avons pas connu cela quand nous étions comme eux », a affirmé A’Salfo, avant d’ajouter « Quand on vient de ce genre de quartier on sait à quelles difficultés sont confrontés les enfants ». C’est pourquoi cette journée est pour le chanteur fils d’Anoumabo, « une sorte de vengeance sur la vie ». Plusieurs autres artistes adulés par les enfants se sont associés à cette initiative. Il s’agit de la Cap-verdienne Elida Almeida, de Dj Marechal le créateur de la danse séka-séka, Tnt, Jc Pluriel. Gambadant d’un coin à un autre, la joie se lisait visiblement sur les visages de ces enfants qui ont vibré aux rythmes des sons urbains. Cette rencontre a permis a A’Salfo de mettre un sourire sur le visage de cette ribambelle d’enfants qui a effectué le déplacement. En plus de la journée des enfants, le Femua enregistre une particularité comparée aux éditions précédentes. C’est Le « Carrefour Jeunesse », une plateforme d’échange entre la jeunesse, les institutions nationales et le Patronat. Le Femua 9, c’est plus d’un million de festivaliers sur les 6 jours que va durer la rencontre culturelle. L’édition parrainée par le président Henri Konan Bédié, a été ouverte mardi 19 avril 2016, en sa présence.
Angeline DJERABE
Venus spécialement de différents orphelinats de la ville d’Abidjan, ces gosses étaient nombreux à participer au Femua des enfants dénommé « Femua kids ». C’était le mercredi 20 avril 2016, lors de la journée spéciale qui leur a été dédiée à la 9e Festival des musiques urbaines d’Anoumabo (Femua). Les enfants ont communié avec le groupe Magique System et plusieurs autres artistes. Tout heureux et débordant de joie, ces gosses ont pris d’assaut le village d’Anoumabo qui abrite l’espace du Festival. Et c’est dans une liesse populaire qu’ils ont scandé les chansons de leur idole tout en esquissant des pas de danse avec les Gaou magiciens. Ce, en reprenant en chœur les titres à succès du groupe Magique Système qui a tenu a égaillé ses spectateurs du jour. L’objectif de cette journée « Femua kids » est de semer l’amour et la de donner la joie de vivre aux tout-petits. Au-delà de permettre aux enfants de toutes les couches sociales de bénéficier des mêmes privilèges, « On a mis cela gratuitement à leur disposition et nous sommes très contents de le faire. Nous n’avons pas connu cela quand nous étions comme eux », a affirmé A’Salfo, avant d’ajouter « Quand on vient de ce genre de quartier on sait à quelles difficultés sont confrontés les enfants ». C’est pourquoi cette journée est pour le chanteur fils d’Anoumabo, « une sorte de vengeance sur la vie ». Plusieurs autres artistes adulés par les enfants se sont associés à cette initiative. Il s’agit de la Cap-verdienne Elida Almeida, de Dj Marechal le créateur de la danse séka-séka, Tnt, Jc Pluriel. Gambadant d’un coin à un autre, la joie se lisait visiblement sur les visages de ces enfants qui ont vibré aux rythmes des sons urbains. Cette rencontre a permis a A’Salfo de mettre un sourire sur le visage de cette ribambelle d’enfants qui a effectué le déplacement. En plus de la journée des enfants, le Femua enregistre une particularité comparée aux éditions précédentes. C’est Le « Carrefour Jeunesse », une plateforme d’échange entre la jeunesse, les institutions nationales et le Patronat. Le Femua 9, c’est plus d’un million de festivaliers sur les 6 jours que va durer la rencontre culturelle. L’édition parrainée par le président Henri Konan Bédié, a été ouverte mardi 19 avril 2016, en sa présence.
Angeline DJERABE