Le Conseil de régulation, de suivi et de développement des Filières coton et anacarde a organisé le jeudi 21 Avril, à l’espace CRRAE-UMOA, un atelier de validation de l’étude d’évaluation des capacités et des besoins d’entreposage. L’objectif de cet atelier a été de présenter le contenu de l’étude sur l’évaluation des capacités et des besoins d’entreposage, dans une perspective de mise en place du Système de récépissé d’entreposage (SRE).
Il s’est agi pour les acteurs de la filière coton et anacarde de réfléchir sur deux points essentiels, à savoir, recueillir les avis et commentaires des différents participants sur le contenu de l’étude et convenir de prochaines étapes de dissémination et d’utilisation de l’étude.
En effet, dans la mise en œuvre du programme d’appui au secteur Agricole en Côte d’Ivoire (PSAC), le cabinet bureau Veritas a été recruté pour effectuer cette évaluation relative aux capacités et besoins de stockage en Côte d’Ivoire. Cette initiative a révélé l’existence de 1056 magasins de stockage dont 266 sélectionnables pour le SRE et qui nécessitent des réhabilitations d’un cout d’environ 4 Milliards de FCFA et, une capacité additionnelle de 106 000 m2 qui serait nécessaire d’ici 2020.
Ce pourquoi, ce présent atelier a été consacré à la validation de ces résultats en recueillant les avis et commentaires de toutes les parties prenantes avant d’être diffusés.
Selon M. Karim Berthé, Coordonnateur général du Conseil de coton et de l’anacarde en charge du développement industriel, cet atelier a permis de faire l’état des lieux des capacités de stockage de produits agricoles et ce qu’il a lieu de faire pour les améliorer.
« Nous avons discuté de l’état actuel des magasins de stockage, de nos besoins à venir par rapport à nos ambitions de stockage et de transformation. Il a été également question de rassurer les opérateurs économiques, en leur montrant ce que la filière coton-anacarde représente et ce que cela va rapporter en terme d’amélioration de la qualité de stockage » a-t-il déclaré.
A toute fin utile, rappelons que le Gouvernement de Côte d’Ivoire s’est fixé comme ambition de transformer 100% de la production de noix brutes d’anacarde dans le pays d’ici 2020, ceci dans un objectif de création d’emplois dans la zone nord et de création de plus de valeur ajoutée.
Il s’est agi pour les acteurs de la filière coton et anacarde de réfléchir sur deux points essentiels, à savoir, recueillir les avis et commentaires des différents participants sur le contenu de l’étude et convenir de prochaines étapes de dissémination et d’utilisation de l’étude.
En effet, dans la mise en œuvre du programme d’appui au secteur Agricole en Côte d’Ivoire (PSAC), le cabinet bureau Veritas a été recruté pour effectuer cette évaluation relative aux capacités et besoins de stockage en Côte d’Ivoire. Cette initiative a révélé l’existence de 1056 magasins de stockage dont 266 sélectionnables pour le SRE et qui nécessitent des réhabilitations d’un cout d’environ 4 Milliards de FCFA et, une capacité additionnelle de 106 000 m2 qui serait nécessaire d’ici 2020.
Ce pourquoi, ce présent atelier a été consacré à la validation de ces résultats en recueillant les avis et commentaires de toutes les parties prenantes avant d’être diffusés.
Selon M. Karim Berthé, Coordonnateur général du Conseil de coton et de l’anacarde en charge du développement industriel, cet atelier a permis de faire l’état des lieux des capacités de stockage de produits agricoles et ce qu’il a lieu de faire pour les améliorer.
« Nous avons discuté de l’état actuel des magasins de stockage, de nos besoins à venir par rapport à nos ambitions de stockage et de transformation. Il a été également question de rassurer les opérateurs économiques, en leur montrant ce que la filière coton-anacarde représente et ce que cela va rapporter en terme d’amélioration de la qualité de stockage » a-t-il déclaré.
A toute fin utile, rappelons que le Gouvernement de Côte d’Ivoire s’est fixé comme ambition de transformer 100% de la production de noix brutes d’anacarde dans le pays d’ici 2020, ceci dans un objectif de création d’emplois dans la zone nord et de création de plus de valeur ajoutée.
