Abengourou - Les acteurs étatiques, non étatiques, les organisations de la société civiles et du secteur privé de la ville d’Abengourou ont participé jeudi et vendredi à un atelier dans le cadre de l’élaboration du plan d’actions national de gouvernement ouvert de la Côte d’Ivoire.
Au cours de cette séance de travail, qui entre dans le cadre des consultations régionales, les participants ont échangé sur des thématiques en adéquation avec les principes fondamentaux du partenariat pour un gouvernement ouvert (OGP, open government partnership en anglais), à savoir la transparence budgétaire, l’accès à l’information, la déclaration de patrimoine des élus et des hauts fonctionnaires pour mieux lutter contre la corruption, et la participation des citoyens à la conception et la gestion des politiques publiques dans un esprit garantissant les libertés publiques de base.
Selon le représentant du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité dans le comité technique OGP, Lazare Djahi Dago, il s’agissait de prendre les avis des citoyens d’Abengourou sur ces différents indicateurs, en vue de l’élaboration du plan d’actions national qui doit être le fruit d’une large et étroite concertation entre le gouvernement et la société civile.
La Côte d’Ivoire est membre depuis octobre 2015 de l’OGP, une initiative lancée en 2011 visant à promouvoir la transparence dans la gestion des affaires publiques par une plus grande responsabilisation et une implication des citoyens, la lutte contre la corruption et l’exploitation des nouvelles technologies de l’information et de la communication, en vue de renforcer la qualité de la gouvernance dans un esprit de collaboration entre les acteurs étatiques, non étatiques, les organisations de la société civile et les médias.
Soixante neuf pays participent à ce jour à l’initiative OGP, note-on.
(AIP)
rkk/kp
Au cours de cette séance de travail, qui entre dans le cadre des consultations régionales, les participants ont échangé sur des thématiques en adéquation avec les principes fondamentaux du partenariat pour un gouvernement ouvert (OGP, open government partnership en anglais), à savoir la transparence budgétaire, l’accès à l’information, la déclaration de patrimoine des élus et des hauts fonctionnaires pour mieux lutter contre la corruption, et la participation des citoyens à la conception et la gestion des politiques publiques dans un esprit garantissant les libertés publiques de base.
Selon le représentant du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité dans le comité technique OGP, Lazare Djahi Dago, il s’agissait de prendre les avis des citoyens d’Abengourou sur ces différents indicateurs, en vue de l’élaboration du plan d’actions national qui doit être le fruit d’une large et étroite concertation entre le gouvernement et la société civile.
La Côte d’Ivoire est membre depuis octobre 2015 de l’OGP, une initiative lancée en 2011 visant à promouvoir la transparence dans la gestion des affaires publiques par une plus grande responsabilisation et une implication des citoyens, la lutte contre la corruption et l’exploitation des nouvelles technologies de l’information et de la communication, en vue de renforcer la qualité de la gouvernance dans un esprit de collaboration entre les acteurs étatiques, non étatiques, les organisations de la société civile et les médias.
Soixante neuf pays participent à ce jour à l’initiative OGP, note-on.
(AIP)
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