Bouaké - La ministre de la Promotion de la femme, de la famille et de la Protection de l’enfant, Euphrasie Kouassi Yao, a exprimé, samedi, sa colère contre les réseaux sociaux, en invitant leurs abonnés à « arrêter de salir le nom de la Côte d’Ivoire » dans l’affaire de viols présumés de quatre étudiantes au campus universitaire de Cocody (à Abidjan).
Lors d’une conférence de presse à Bouaké, la ministre Euphrasie Yao a dit être l’objet d’interpellations incessantes des « adeptes » des réseaux sociaux, en tant que ministre de la Promotion de la femme, de la famille et la Protection de l’enfant, de faire en sorte que les auteurs des viols soient punis.
A l’endroit des auteurs des messages postés sur sa page facebook, elle a annoncé qu’un ministre ne peut pas travailler avec des allégations, sans informations de base, et qui ne lui donnent pas les éléments de preuve à agir.
En sa qualité d’ambassadrice œuvrant depuis plus de 20 ans pour la valorisation de l’image de la femme, Mme Kouassi Yao affirme ne pas avoir de motif qui aurait pu l’amener à se taire si les cas de viols étaient avérés.
Illustrant ces propos, elle a fait savoir qu’elle a contribué à la création d’un centre d’écoute à Attécoubé (Abidjan) qui a déjà œuvré pour la condamnation de 17 auteurs de cas de violences faites aux femmes.
Pour les viols présumés des quatre étudiantes, ses services ont déjà mené des investigations, dès les premières heures où l’information a été portée sur les réseaux sociaux, mais aucune victime de viol n’a été trouvée, a-t-elle soutenu.
(AIP)
Nbf/akn/kp
Lors d’une conférence de presse à Bouaké, la ministre Euphrasie Yao a dit être l’objet d’interpellations incessantes des « adeptes » des réseaux sociaux, en tant que ministre de la Promotion de la femme, de la famille et la Protection de l’enfant, de faire en sorte que les auteurs des viols soient punis.
A l’endroit des auteurs des messages postés sur sa page facebook, elle a annoncé qu’un ministre ne peut pas travailler avec des allégations, sans informations de base, et qui ne lui donnent pas les éléments de preuve à agir.
En sa qualité d’ambassadrice œuvrant depuis plus de 20 ans pour la valorisation de l’image de la femme, Mme Kouassi Yao affirme ne pas avoir de motif qui aurait pu l’amener à se taire si les cas de viols étaient avérés.
Illustrant ces propos, elle a fait savoir qu’elle a contribué à la création d’un centre d’écoute à Attécoubé (Abidjan) qui a déjà œuvré pour la condamnation de 17 auteurs de cas de violences faites aux femmes.
Pour les viols présumés des quatre étudiantes, ses services ont déjà mené des investigations, dès les premières heures où l’information a été portée sur les réseaux sociaux, mais aucune victime de viol n’a été trouvée, a-t-elle soutenu.
(AIP)
Nbf/akn/kp