Abidjan (Côte d’Ivoire) - Dans le cadre du Programme d’appui au secteur agricole (PSAC), 89 789 producteurs agricoles sur 105 400, ont adopté une technique améliorée, a appris l’Agence de Presse Africaine (APA) du Coordonnateur de ce projet, Raphaël Amari Agneroh, présentant , mercredi soir, un bilan à mi-parcours de ses activités dédiées au monde agricole.
Au titre des performances techniques basées sur les indicateurs de résultats clés intermédiaires, le PSAC a enregistré "89 789 producteurs sur 105 400 qui ont adopté une technique améliorée, soit 88,4% des producteurs visés".
Selon les mêmes résultats, 2 filières agricoles sur 4 sont en conformité avec l’ordonnance N 472-2011, soit 66,6%, 8 sociétés coopératives sur 54 bénéficient d’un renforcement de capacité, 28 sous-projets socio-économiques sur 40 sont financés».
Quant aux performances techniques sur la base des indicateurs relatifs aux objectifs du développement, « on note 40 796 km, 514 km de linéaires de routes réhabilités, 11 376 ha de plantations villageoises plantées ou replantées ».
Pour l’année 2016, envisage le Coordonnateur, « le PSAC veut toucher sur l’ensemble des filières, à partir des activités d’accès au marché, de la productivité agricole et de l’appui institutionnel 41 000 bénéficiaires ».
Raphaël Amari Agneroh, a salué l’implication de la gente féminine dans le milieu agricole. «Nous sommes heureux de rencontrer dans les plantations de jeunes filles qui ont le BTS (Brevet de technicien supérieur). Le genre est important et pris en compte dans l’exécution de nos projets », a-t-il insisté.
D’une durée de 4 ans, le PSAC est un projet initié par le ministère ivoirien de l’agriculture qui s’inscrit dans le cadre du Programme national d’investissement agricole (PNIA) adopté par le gouvernement en juillet 2010.
Le coût global s’élève à 75 ,04 milliards FCFA avec les participations du groupe de la Banque mondiale (25 milliards), de la France à travers le C2D (17,84 milliards FCFA ),l’Etat ivoirien (2 ,5 milliards FCFA), les interprofessionnels et les bénéficiaires (29,7 milliards FCFA).
Il vise entre autre à faciliter l’accès aux marchés des produits des filières ciblées à travers les travaux de réhabilitation, l’entretien des routes, l’amélioration de la productivité des filières ciblées à travers la vulgarisation des semences, l’accès des petits exploitants aux technologies, l’amélioration du cadre institutionnel de développement des filières ciblées par le renforcement des capacités à savoir le cacao, l’hévéa, le palmier à huile, le coton et l’anacarde.
SY/ls
Au titre des performances techniques basées sur les indicateurs de résultats clés intermédiaires, le PSAC a enregistré "89 789 producteurs sur 105 400 qui ont adopté une technique améliorée, soit 88,4% des producteurs visés".
Selon les mêmes résultats, 2 filières agricoles sur 4 sont en conformité avec l’ordonnance N 472-2011, soit 66,6%, 8 sociétés coopératives sur 54 bénéficient d’un renforcement de capacité, 28 sous-projets socio-économiques sur 40 sont financés».
Quant aux performances techniques sur la base des indicateurs relatifs aux objectifs du développement, « on note 40 796 km, 514 km de linéaires de routes réhabilités, 11 376 ha de plantations villageoises plantées ou replantées ».
Pour l’année 2016, envisage le Coordonnateur, « le PSAC veut toucher sur l’ensemble des filières, à partir des activités d’accès au marché, de la productivité agricole et de l’appui institutionnel 41 000 bénéficiaires ».
Raphaël Amari Agneroh, a salué l’implication de la gente féminine dans le milieu agricole. «Nous sommes heureux de rencontrer dans les plantations de jeunes filles qui ont le BTS (Brevet de technicien supérieur). Le genre est important et pris en compte dans l’exécution de nos projets », a-t-il insisté.
D’une durée de 4 ans, le PSAC est un projet initié par le ministère ivoirien de l’agriculture qui s’inscrit dans le cadre du Programme national d’investissement agricole (PNIA) adopté par le gouvernement en juillet 2010.
Le coût global s’élève à 75 ,04 milliards FCFA avec les participations du groupe de la Banque mondiale (25 milliards), de la France à travers le C2D (17,84 milliards FCFA ),l’Etat ivoirien (2 ,5 milliards FCFA), les interprofessionnels et les bénéficiaires (29,7 milliards FCFA).
Il vise entre autre à faciliter l’accès aux marchés des produits des filières ciblées à travers les travaux de réhabilitation, l’entretien des routes, l’amélioration de la productivité des filières ciblées à travers la vulgarisation des semences, l’accès des petits exploitants aux technologies, l’amélioration du cadre institutionnel de développement des filières ciblées par le renforcement des capacités à savoir le cacao, l’hévéa, le palmier à huile, le coton et l’anacarde.
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