La Coordination nationale des gares routières de Côte d’Ivoire (CNGRCI), invite le gouvernement à "réactiver" le cadre de concertation avec le Comité de réajustement des prix des produits pétroliers, avant d’envisager une éventuelle réduction des coûts du transport, a dit mardi à ALERTE INFO le président de l’organisation, Adama Touré.
Selon M. Touré, les transporteurs ne peuvent pas opérer de réajustement des tarifs sans un cadre de concertation, dans la mesure où les prix du carburant à la pompe varient en fonction des cours du baril du pétrole sur le marché mondial.
Cette plate-forme dénommée Cadre permanent de concertation entre le gouvernement, les opérateurs pétroliers et le secteur des transports pour l’étude de réajustement des prix des produits pétroliers, devrait permettre d’évaluer l’impact des prix, a-t-il ajouté.
"Tant que ce comité n’est pas activé, nous ne sommes pas en même de savoir quand le baril va augmenter" pour expliquer les changements de prix aux usagers, a fait observer Adama Touré.
Le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, a demandé le 1er mai aux transporteurs de réduire leurs tarifs, évoquant une baisse des coûts du carburant à la pompe, depuis deux ans, de 790 Fcfa à 570 Fcfa le litre du super et celui du gasoil de 615 Fcfa à 570 Fcfa, à l'occasion de la fête du travail.
Le cadre de permanent de concertation entre le gouvernement, les syndicats de transports et le comité de réajustement des prix des produits pétroliers a été mis en place en 2008 et n’a fonctionné que jusqu’en 2009, selon un responsable syndical.
PAL
Selon M. Touré, les transporteurs ne peuvent pas opérer de réajustement des tarifs sans un cadre de concertation, dans la mesure où les prix du carburant à la pompe varient en fonction des cours du baril du pétrole sur le marché mondial.
Cette plate-forme dénommée Cadre permanent de concertation entre le gouvernement, les opérateurs pétroliers et le secteur des transports pour l’étude de réajustement des prix des produits pétroliers, devrait permettre d’évaluer l’impact des prix, a-t-il ajouté.
"Tant que ce comité n’est pas activé, nous ne sommes pas en même de savoir quand le baril va augmenter" pour expliquer les changements de prix aux usagers, a fait observer Adama Touré.
Le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, a demandé le 1er mai aux transporteurs de réduire leurs tarifs, évoquant une baisse des coûts du carburant à la pompe, depuis deux ans, de 790 Fcfa à 570 Fcfa le litre du super et celui du gasoil de 615 Fcfa à 570 Fcfa, à l'occasion de la fête du travail.
Le cadre de permanent de concertation entre le gouvernement, les syndicats de transports et le comité de réajustement des prix des produits pétroliers a été mis en place en 2008 et n’a fonctionné que jusqu’en 2009, selon un responsable syndical.
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