L’auditorium de la Primature ivoirienne a servi de cadre mardi à la présentation par le Fonds Monétaire International (FMI) de son rapport sur les perspectives économiques régionales pour l’Afrique subsaharienne.
Selon ce rapport, l’activité économique en Afrique subsaharienne a nettement ralenti. La croissance économique de la région est tombée à 3.5% en 2015, le plus bas niveau depuis une quinzaine d’années. Mais cette croissance devrait continuer de ralentir en 2016 pour s’établir a 3%, bien en deçà des taux de 5% á 7% enregistré pendant la décennie écoulée.
Selon le FMI, cette situation résulte de plusieurs facteurs. Notamment, la chute des cours des produits de base. Ce qui a durement ébranlé beaucoup des plus grands pays d’Afrique subsaharienne. C’est le cas des pays exportateur de pétroles tels que l’Angola et le Nigeria qui reste confronté à un environnement économique difficile.
La croissance du groupe des pays exportateur de pétrole devrait diminuer encore et s’établir á 2.25% en 2016.
L’épidémie de virus à Ebola, qui a affecté la Guinée, le Liberia, la Sierra Leone a contribué au ralentissement de la croissance de la région. La grave sécheresse qui a sévit dans plusieurs pays d’Afrique Austral et oriental, dont l’Ethiopie, le Malawi et le Zimbabwe, explique cette baisse de vitalité de la croissance économique de la région subsaharienne.
Le rapport indique que la croissance économique de la région sera encore plus faible car, de nombreux pays auront à faire face a la dégradation de l’environnement extérieur.
Le chef du Gouvernement, Daniel Kablan DUNCAN a déclaré que la croissance économique de la Côte d’Ivoire restera vigoureuse pour les prochaines années et deviendra plus inclusive. Il a rappelé l’objectif de la Cote d’Ivoire de faire partie des 50 premiers pays dans le classement Doing Business à l’horizon 2020.
Le Directeur adjoint du Département Afrique du FMI, Roger NORD s’est félicité du dynamisme sous régional tiré par la Côte d’Ivoire, sur fonds de termes de l’échange favorable.
Les bons résultats de la Cote d’Ivoire sont à mettre à l’actif de la stabilité politique et macro économique, a expliqué Roger NORD.
Les perspectives de croissance sous régionales demeurent positives à moyen terme, conclu le rapport.
Élisée B.
Selon ce rapport, l’activité économique en Afrique subsaharienne a nettement ralenti. La croissance économique de la région est tombée à 3.5% en 2015, le plus bas niveau depuis une quinzaine d’années. Mais cette croissance devrait continuer de ralentir en 2016 pour s’établir a 3%, bien en deçà des taux de 5% á 7% enregistré pendant la décennie écoulée.
Selon le FMI, cette situation résulte de plusieurs facteurs. Notamment, la chute des cours des produits de base. Ce qui a durement ébranlé beaucoup des plus grands pays d’Afrique subsaharienne. C’est le cas des pays exportateur de pétroles tels que l’Angola et le Nigeria qui reste confronté à un environnement économique difficile.
La croissance du groupe des pays exportateur de pétrole devrait diminuer encore et s’établir á 2.25% en 2016.
L’épidémie de virus à Ebola, qui a affecté la Guinée, le Liberia, la Sierra Leone a contribué au ralentissement de la croissance de la région. La grave sécheresse qui a sévit dans plusieurs pays d’Afrique Austral et oriental, dont l’Ethiopie, le Malawi et le Zimbabwe, explique cette baisse de vitalité de la croissance économique de la région subsaharienne.
Le rapport indique que la croissance économique de la région sera encore plus faible car, de nombreux pays auront à faire face a la dégradation de l’environnement extérieur.
Le chef du Gouvernement, Daniel Kablan DUNCAN a déclaré que la croissance économique de la Côte d’Ivoire restera vigoureuse pour les prochaines années et deviendra plus inclusive. Il a rappelé l’objectif de la Cote d’Ivoire de faire partie des 50 premiers pays dans le classement Doing Business à l’horizon 2020.
Le Directeur adjoint du Département Afrique du FMI, Roger NORD s’est félicité du dynamisme sous régional tiré par la Côte d’Ivoire, sur fonds de termes de l’échange favorable.
Les bons résultats de la Cote d’Ivoire sont à mettre à l’actif de la stabilité politique et macro économique, a expliqué Roger NORD.
Les perspectives de croissance sous régionales demeurent positives à moyen terme, conclu le rapport.
Élisée B.