Marrakech - Le premier congrès africain sur l’entretien, la sauvegarde du patrimoine routier et l’innovation technique a ouvert ses travaux, mercredi, à Marrakech (Maroc) avec la présentation de l’expérience marocaine qui a permis au royaume chérifien de disposer d’un réseau routier national très développé.
Selon le ministre marocain délégué au Transport, Najib Boulif, le Maroc a une tradition de l’entretien routier depuis les années 1991. Il a expliqué que la politique de construction et d’entretien est l’affaire du ministère de l’équipement et du transport qui accompagne le développement des infrastructures et assure la sauvegarde du patrimoine routier national.
M. Najib a indiqué que le modèle de développement du réseau routier est financé grâce à un fonds de trois milliards de Dirhams (50 000 000 millions FCFA) et prend en compte les problèmes d’intempéries. Ce fonds est mis en place par l’Etat qui l’alimente à hauteur de 70% et les partenaires privés à 30% à travers un partenariat public privé (PPP).
« Plusieurs plans nationaux ont été initiés et ont porté leur fruit », a confié Najib Boulif, faisant savoir que ces plans ont permis de construire plus de 50 000 km de routes et ont eu pour avantage le désenclavement du monde rural et la baisse du coût du transport et le temps de déplacement.
« Ceci est une chose positive », a fait remarquer le ministre marocain, soulignant que l’un des objectifs de l’ouverture et de l’entretien des routes était d’augmenter le taux de scolarisation dans le milieu rural.
La stratégie de l’entretien routier est soutenue par la création d’écoles d’entretien routier et d’ingénierie « ainsi que la formation des ressources humaines de qualité dont les expertises sont aujourd’hui à travers l’Afrique’’, a-t-il confié.
Le premier congrès africain sur l’entretien, la sauvegarde du patrimoine routier et l’innovation technique est placé sous le haut patronage de Sa Majesté le Roi Mohamed VI. Il est présidé par le ministre marocain de de l’Equipement, du Transport et de la Logistique. Il a été ouvert mercredi en présence du ministre guinéen des Transports, Adja Oumou Camara, et de plusieurs experts des pays africains.
(AIP)
nam/ask
Selon le ministre marocain délégué au Transport, Najib Boulif, le Maroc a une tradition de l’entretien routier depuis les années 1991. Il a expliqué que la politique de construction et d’entretien est l’affaire du ministère de l’équipement et du transport qui accompagne le développement des infrastructures et assure la sauvegarde du patrimoine routier national.
M. Najib a indiqué que le modèle de développement du réseau routier est financé grâce à un fonds de trois milliards de Dirhams (50 000 000 millions FCFA) et prend en compte les problèmes d’intempéries. Ce fonds est mis en place par l’Etat qui l’alimente à hauteur de 70% et les partenaires privés à 30% à travers un partenariat public privé (PPP).
« Plusieurs plans nationaux ont été initiés et ont porté leur fruit », a confié Najib Boulif, faisant savoir que ces plans ont permis de construire plus de 50 000 km de routes et ont eu pour avantage le désenclavement du monde rural et la baisse du coût du transport et le temps de déplacement.
« Ceci est une chose positive », a fait remarquer le ministre marocain, soulignant que l’un des objectifs de l’ouverture et de l’entretien des routes était d’augmenter le taux de scolarisation dans le milieu rural.
La stratégie de l’entretien routier est soutenue par la création d’écoles d’entretien routier et d’ingénierie « ainsi que la formation des ressources humaines de qualité dont les expertises sont aujourd’hui à travers l’Afrique’’, a-t-il confié.
Le premier congrès africain sur l’entretien, la sauvegarde du patrimoine routier et l’innovation technique est placé sous le haut patronage de Sa Majesté le Roi Mohamed VI. Il est présidé par le ministre marocain de de l’Equipement, du Transport et de la Logistique. Il a été ouvert mercredi en présence du ministre guinéen des Transports, Adja Oumou Camara, et de plusieurs experts des pays africains.
(AIP)
nam/ask