Le Comité de concertation Etat-Secteur privé (CCESP) en collaboration avec le Groupe de la Banque mondiale a organisé un atelier de restitution des résultats de l’étude diagnostic suivi de réflexions sur la stratégie nationale du Dialogue public-privé (DPP), ce mardi 10 mai 2016, à Abidjan. La rencontre a pour objectif de partager aux acteurs et partenaires du DPP ivoirien, l’étude d’évaluation du partenariat entre l’Etat et le Secteur privé réalisée par la Cellule d’Analyses de Politiques économiques du CIRES (CAPEC) afin d’analyser les conclusions et poser les bases de réflexions pour l’élaboration d’une stratégie nationale de dialogue public privé en Côte d’Ivoire.
«Notre ambition est de faire en sorte que l’Etat et le Secteur privé passent ensemble de la concertation spécifique à la concertation durable, c’est-à-dire d’une concertation par problématique à une concertation stratégique pour le développement économique de notre pays », a indiqué Mariam Fofana Fadiga, Secrétaire exécutif du CCESP. Elle a expliqué que la mise en œuvre du Plan national développement (PND) 2016-2020, dont l’objectif principal est de conduire le pays à l’émergence à l’horizon 2020, repose sur une forte contribution du Secteur privé. D’où l’intérêt pour le gouvernement, a-t-elle justifié, de renforcer le partenariat avec le Secteur privé à travers une stratégie nationale de Dialogue public privé, qui fédère toutes les initiatives de Dialogue public privé à l’échelle nationale et définisse les orientations stratégiques pour une meilleure efficacité du processus.
Pour Fanja Ravaovy, du Programme climat investissements de la Banque mondiale, l’enjeu c’est de faire en sorte que ce cadre paritaire Etat-secteur privé soit efficace et permanent afin que toutes les parties prenantes en tirent profit pour notamment diminuer voire éliminer les monologues de l’administration et du secteur privé.
Dr Vaflahi Meïté, Directeur exécutif de la confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) a conseillé, pour sa part, qu’il faut garder en vue l’essentiel qui est la réduction de la pauvreté. Pour lui, on ne peut pas avoir de développement durable sans un secteur privé fort.
Akpess Bernard Yapo, Directeur de cabinet adjoint représentant le ministre de l’Economie et des finances a salué l’intérêt accordé à la concertation Etat-Secteur privé. Il a soutenu que le dialogue public privé est un gage de bonne gouvernance. Car il a l’avantage, a-t-il dit, est de favoriser le rapprochement des acteurs pour renforcer le dynamisme de développement du secteur privé et permettre au gouvernement de promouvoir et mettre en œuvre des réformes pragmatiques auxquelles adhèrent les entreprises.
Danielle Tagro
«Notre ambition est de faire en sorte que l’Etat et le Secteur privé passent ensemble de la concertation spécifique à la concertation durable, c’est-à-dire d’une concertation par problématique à une concertation stratégique pour le développement économique de notre pays », a indiqué Mariam Fofana Fadiga, Secrétaire exécutif du CCESP. Elle a expliqué que la mise en œuvre du Plan national développement (PND) 2016-2020, dont l’objectif principal est de conduire le pays à l’émergence à l’horizon 2020, repose sur une forte contribution du Secteur privé. D’où l’intérêt pour le gouvernement, a-t-elle justifié, de renforcer le partenariat avec le Secteur privé à travers une stratégie nationale de Dialogue public privé, qui fédère toutes les initiatives de Dialogue public privé à l’échelle nationale et définisse les orientations stratégiques pour une meilleure efficacité du processus.
Pour Fanja Ravaovy, du Programme climat investissements de la Banque mondiale, l’enjeu c’est de faire en sorte que ce cadre paritaire Etat-secteur privé soit efficace et permanent afin que toutes les parties prenantes en tirent profit pour notamment diminuer voire éliminer les monologues de l’administration et du secteur privé.
Dr Vaflahi Meïté, Directeur exécutif de la confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) a conseillé, pour sa part, qu’il faut garder en vue l’essentiel qui est la réduction de la pauvreté. Pour lui, on ne peut pas avoir de développement durable sans un secteur privé fort.
Akpess Bernard Yapo, Directeur de cabinet adjoint représentant le ministre de l’Economie et des finances a salué l’intérêt accordé à la concertation Etat-Secteur privé. Il a soutenu que le dialogue public privé est un gage de bonne gouvernance. Car il a l’avantage, a-t-il dit, est de favoriser le rapprochement des acteurs pour renforcer le dynamisme de développement du secteur privé et permettre au gouvernement de promouvoir et mettre en œuvre des réformes pragmatiques auxquelles adhèrent les entreprises.
Danielle Tagro