La ministre ivoirienne de la Solidarité, Mariatou Koné, s’est rendue il y a quelques jours au Liberia, dans un camp de réfugiés ivoiriens qui ont fui leur pays, notamment au moment de la crise postélectorale de 2010/2011. Accompagnée de membres du HCR, elle a incité les quelque 22 000 expatriés à rentrer en Côte d’Ivoire maintenant que la situation est redevenue « calme ». Un travail de longue haleine et qui concerne plusieurs pays limitrophes.
L’hostilité supposée des voisins, l’adaptation d’enfants scolarisés depuis des années dans des écoles étrangères, la confiscation de biens, de terres agricoles et de logements… toutes ces appréhensions du retour au pays ne doivent plus être des freins au rapatriement des 48 609 réfugiés recensés par les autorités d’Abidjan.
Selon elles, le calme et la paix sont rétablis en Côté d’Ivoire, et plus rien ne s’oppose, par exemple, au retour des 22 151 réfugiés qui sont encore au Liberia voisin.
L’hostilité supposée des voisins, l’adaptation d’enfants scolarisés depuis des années dans des écoles étrangères, la confiscation de biens, de terres agricoles et de logements… toutes ces appréhensions du retour au pays ne doivent plus être des freins au rapatriement des 48 609 réfugiés recensés par les autorités d’Abidjan.
Selon elles, le calme et la paix sont rétablis en Côté d’Ivoire, et plus rien ne s’oppose, par exemple, au retour des 22 151 réfugiés qui sont encore au Liberia voisin.