Dabou – Les autorités administratives, politiques et universitaires sont à la recherche d’un espace de 300 hectares en vue d’y bâtir l’université de Dabou (sud, région des Grands ponts).
« Le 29 avril, nous avons reçu une délégation du ministère de l’Enseignement supérieur conduite par le directeur de la décentralisation des universités qui nous a annoncé que Dabou bénéficie d’une université. (…) On a besoin de 300 ha’’, a annoncé,, jeudi, le préfet Kouakou Assoman aux chefs des six villages les plus proches de la ville que sont Agnéby, Débrimou, N’Gatty, Armébé, Gbougbô et Kpass.
Cette aire doit idéalement être d’un seul tenant mais, dans le cas contraire, ne pas excéder trois lots distincts et ne pas se situer à plus de trois kilomètres de la ville, a-t-il mentionné.
« C’est une aubaine à ne pas rater, car une université est un vecteur réel de développement », a ajouté le préfet qui était entouré du député Agbré Touni Jean et du député-maire Sess Soukou qui, eux, ont salué cette initiative qui permettra « aux enfants de la région de poursuivre leurs études en étant quasiment à la maison ».
« C’est une nouvelle qui me réjouit et c’est une chance pour Dabou », a déclaré le chef du village d’Armébé, Akpro Bedi Laurent, qui, à l’instar des cinq autres, a pris l’engagement de susciter l’adhésion des populations à ce projet d’université à caractère agronomique.
La Côte d’Ivoire, depuis quelques années, a entamé le processus de régionalisation des universités comme c’est actuellement le cas à Man, Bondoukou et San Pedro et qui se poursuit avec la création d’universités dans chaque chef-lieu de district, note-t-on.
(AIP)
kkp/ask
« Le 29 avril, nous avons reçu une délégation du ministère de l’Enseignement supérieur conduite par le directeur de la décentralisation des universités qui nous a annoncé que Dabou bénéficie d’une université. (…) On a besoin de 300 ha’’, a annoncé,, jeudi, le préfet Kouakou Assoman aux chefs des six villages les plus proches de la ville que sont Agnéby, Débrimou, N’Gatty, Armébé, Gbougbô et Kpass.
Cette aire doit idéalement être d’un seul tenant mais, dans le cas contraire, ne pas excéder trois lots distincts et ne pas se situer à plus de trois kilomètres de la ville, a-t-il mentionné.
« C’est une aubaine à ne pas rater, car une université est un vecteur réel de développement », a ajouté le préfet qui était entouré du député Agbré Touni Jean et du député-maire Sess Soukou qui, eux, ont salué cette initiative qui permettra « aux enfants de la région de poursuivre leurs études en étant quasiment à la maison ».
« C’est une nouvelle qui me réjouit et c’est une chance pour Dabou », a déclaré le chef du village d’Armébé, Akpro Bedi Laurent, qui, à l’instar des cinq autres, a pris l’engagement de susciter l’adhésion des populations à ce projet d’université à caractère agronomique.
La Côte d’Ivoire, depuis quelques années, a entamé le processus de régionalisation des universités comme c’est actuellement le cas à Man, Bondoukou et San Pedro et qui se poursuit avec la création d’universités dans chaque chef-lieu de district, note-t-on.
(AIP)
kkp/ask
