En marge du 26è sommet du Forum Economique Mondial où il représentait le Premier Ministre Daniel Kablan DUNCAN, le Ministre de l’Economie Numérique et de la Poste, Porte-parole du Gouvernement a visité, le vendredi 13 mai 2016, le Kigali Genocide Memorial, un musée dédié au victime Tutsis et Hutus modérés du génocide de 1994.
En effet, d’avril 1994 à juillet 1994 le Rwanda, petit pays d’Afrique centrale, a connu des événements sans nul pareil qui conduisirent au massacre de centaines de milliers de personnes. L’ONU estime qu’environ 800 000 Rwandais, en majorité tutsis, ont perdu la vie durant ces trois mois. Ceux qui parmi les Hutus se sont montrés solidaires des Tutsis ont été tués comme traîtres à la cause Hutu. D’une durée de cent jours, ce fut le génocide le plus rapide de l’histoire et celui de plus grande ampleur quant au nombre de morts par jour.
Après la visite du mémorial, Bruno KONE a dit toute sa tristesse et toute son émotion. « C’est une visite émouvante au cours de laquelle l’on peut voir à quoi peut conduire la haine de l’homme envers l’homme… On en ressort en priant pour le repos des âmes des victimes, en se demandant comment cela a pu arriver. Aucun pays dans le monde n’est à l’abri de ce qu’on vient de voir ici. Et on se dit : « jamais cela dans mon pays… ».
En effet, d’avril 1994 à juillet 1994 le Rwanda, petit pays d’Afrique centrale, a connu des événements sans nul pareil qui conduisirent au massacre de centaines de milliers de personnes. L’ONU estime qu’environ 800 000 Rwandais, en majorité tutsis, ont perdu la vie durant ces trois mois. Ceux qui parmi les Hutus se sont montrés solidaires des Tutsis ont été tués comme traîtres à la cause Hutu. D’une durée de cent jours, ce fut le génocide le plus rapide de l’histoire et celui de plus grande ampleur quant au nombre de morts par jour.
Après la visite du mémorial, Bruno KONE a dit toute sa tristesse et toute son émotion. « C’est une visite émouvante au cours de laquelle l’on peut voir à quoi peut conduire la haine de l’homme envers l’homme… On en ressort en priant pour le repos des âmes des victimes, en se demandant comment cela a pu arriver. Aucun pays dans le monde n’est à l’abri de ce qu’on vient de voir ici. Et on se dit : « jamais cela dans mon pays… ».