La mutuelle panafricaine de gestion des risques (ARC), a signé une lettre d’intention avec la Banque africaine de développement et un Protocole d’entente avec la Conférence Inter-Africaine des Marchés d’Assurances (CIMA) ce mercredi e 25 mai après le Panel de haut-niveau aux Assemblées annuelles de Bad sur le financement des catastrophes naturelles et des changements climatiques. La lettre d’intention entre l’ARC et la Bad marque la volonté de collaboration des deux institutions dans les domaines de la planification, la préparation et la réponse aux événements météorologiques et aux catastrophes naturelles, au bénéfice des pays membres régionaux du Groupe de la Bad.
Quand au Protocole d’entente signé par l’ARC et la CIMA, l’organisme de réglementation des assurances dans 14 pays d’Afrique de l’ouest et du centre, il présente l’intérêt de la CIMA de former des assureurs des États membres de l’ARC, en ce qui concerne les produits d’assurance indicielle, , l’établissement de groupes de travail commun pour étudier et mettre en œuvre les stratégies liés aux couvertures de risque basé sur un indice météorologique et enfin de faire la promotion des produits d’assurance basés sur des indices climatiques pour accès aux assureurs traditionnels.
Pour les responsables de la mutuelle panafricaine de gestion des risques il s’agit d’une avancée notable vers son objectif de fournir 2 milliard de dollars US de couverture d’assurance contre les catastrophes naturelles aux populations le plus vulnérables en Afrique.« Cette signature entre l’ARC et la BAD renforce et formalise un partenariat déjà fort entre les deux institutions. Elle démontre l’approche proactive de la Banque, dirigée à l’intention des besoins de nos États membres.» a déclaré Mohamed Beavogui, Directeur Général de l’Institution de l’ARC.
Les partenariats avec la Bad et la CIMA aideront l’ARC à atteindre son objectif d’assurer indirectement 150 million de personnes dans 30 pays en Afrique avant 2020. L’ ARC a été établie par traité comme institution spécialisée de l’Union africaine en 2012. L’ARC a été créée pour aider des États membres à améliorer leurs capacités afin de mieux planifier, préparer et répondre aux événements météorologiques extrêmes et aux catastrophes naturelles, tout en protégeant la sécurité alimentaire des populations vulnérables.
Didier ASSOUMOU, envoyé spécial
Quand au Protocole d’entente signé par l’ARC et la CIMA, l’organisme de réglementation des assurances dans 14 pays d’Afrique de l’ouest et du centre, il présente l’intérêt de la CIMA de former des assureurs des États membres de l’ARC, en ce qui concerne les produits d’assurance indicielle, , l’établissement de groupes de travail commun pour étudier et mettre en œuvre les stratégies liés aux couvertures de risque basé sur un indice météorologique et enfin de faire la promotion des produits d’assurance basés sur des indices climatiques pour accès aux assureurs traditionnels.
Pour les responsables de la mutuelle panafricaine de gestion des risques il s’agit d’une avancée notable vers son objectif de fournir 2 milliard de dollars US de couverture d’assurance contre les catastrophes naturelles aux populations le plus vulnérables en Afrique.« Cette signature entre l’ARC et la BAD renforce et formalise un partenariat déjà fort entre les deux institutions. Elle démontre l’approche proactive de la Banque, dirigée à l’intention des besoins de nos États membres.» a déclaré Mohamed Beavogui, Directeur Général de l’Institution de l’ARC.
Les partenariats avec la Bad et la CIMA aideront l’ARC à atteindre son objectif d’assurer indirectement 150 million de personnes dans 30 pays en Afrique avant 2020. L’ ARC a été établie par traité comme institution spécialisée de l’Union africaine en 2012. L’ARC a été créée pour aider des États membres à améliorer leurs capacités afin de mieux planifier, préparer et répondre aux événements météorologiques extrêmes et aux catastrophes naturelles, tout en protégeant la sécurité alimentaire des populations vulnérables.
Didier ASSOUMOU, envoyé spécial