Le "déficit des comptes courants" de l’Etat de Côte d’Ivoire, passera de -2,5% du Produit intérieur brut (PIB) en 2015 à -3% en 2016 pour s’établir à près de 4% en 2017, indique un rapport de la Banque africaine de développement (BAD) sur les perspectives économiques du pays.
"Le creusement des déficits des comptes courants, passera de -2,5% du PIB en 2015 à -3% en 2016" pour se situer à "-3,9% en 2017", précise le rapport, qui note que cela "découle d’une hausse des investissements dans les secteurs d’exportation et dans les infrastructures".
Selon ce rapport conjoint de la BAD, du PNUD et de l’OCDE, "l’amélioration du climat des affaires et de l’environnement macroéconomique a facilité l’augmentation des investissements" par la création d’entreprises et l'"afflux d’investissements directs étrangers (IDE)".
Le développement de Partenariats public-privé (PPP) devrait être profilé afin d’"équilibrer le partage des risques", relève le document, qui souligne que les "problèmes persistent en matière d’accès à la propriété foncière, de fiscalité et d’accès au financement".
La croissance économique du pays en 2015, estimée à "8,8 % selon la Banque africaine de développement se situe dans la lignée de celle de 2013 (8,7%) et 2014 (7,9%)", poursuit le rapport.
La performance économique de la Côte d’Ivoire est tirée par l’agriculture, les investissements, les services et l’amélioration du climat des affaires. Elle devrait se poursuivre en 2016 et en 2017 avec des taux de croissance estimés à "8,6 % et 8,3 % respectivement".
S’appuyant sur le Plan national de développement (PND) 2015-2020, doté d’un portefeuille de 30.000 milliards Fcfa, le gouvernement ivoirien entend "maintenir le cap pour faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent en 2020, tout en rendant la croissance plus inclusive".
La politique budgétaire du pays est marquée par l’augmentation des investissements et la prise en charge des autres besoins de développement dans un contexte post-conflit. Le taux d’inflation, quant à lui, s’est établi à 1,5 % en 2015.
PAL
"Le creusement des déficits des comptes courants, passera de -2,5% du PIB en 2015 à -3% en 2016" pour se situer à "-3,9% en 2017", précise le rapport, qui note que cela "découle d’une hausse des investissements dans les secteurs d’exportation et dans les infrastructures".
Selon ce rapport conjoint de la BAD, du PNUD et de l’OCDE, "l’amélioration du climat des affaires et de l’environnement macroéconomique a facilité l’augmentation des investissements" par la création d’entreprises et l'"afflux d’investissements directs étrangers (IDE)".
Le développement de Partenariats public-privé (PPP) devrait être profilé afin d’"équilibrer le partage des risques", relève le document, qui souligne que les "problèmes persistent en matière d’accès à la propriété foncière, de fiscalité et d’accès au financement".
La croissance économique du pays en 2015, estimée à "8,8 % selon la Banque africaine de développement se situe dans la lignée de celle de 2013 (8,7%) et 2014 (7,9%)", poursuit le rapport.
La performance économique de la Côte d’Ivoire est tirée par l’agriculture, les investissements, les services et l’amélioration du climat des affaires. Elle devrait se poursuivre en 2016 et en 2017 avec des taux de croissance estimés à "8,6 % et 8,3 % respectivement".
S’appuyant sur le Plan national de développement (PND) 2015-2020, doté d’un portefeuille de 30.000 milliards Fcfa, le gouvernement ivoirien entend "maintenir le cap pour faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent en 2020, tout en rendant la croissance plus inclusive".
La politique budgétaire du pays est marquée par l’augmentation des investissements et la prise en charge des autres besoins de développement dans un contexte post-conflit. Le taux d’inflation, quant à lui, s’est établi à 1,5 % en 2015.
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