En Côte d’Ivoire, le procès de Simone Gbagbo doit s’ouvrir mardi 31 mai devant la Cour d’assises d’Abidjan. Mais ce rendez-vous très attendu aura lieu sans les organisations ivoiriennes des droits de l’homme. Parties civiles et représentantes de victimes ont annoncées qu’elles ne participeraient pas au procès, dénonçant sa crédibilité. Déjà condamnée l’année dernière à 20 ans de prison pour atteinte à la sureté de l’Etat, l’ancienne première dame doit comparaitre pour crimes contre l’humanité.
C’est un coup de colère des organisations ivoiriennes des droits de l’homme. Depuis quatre ans, investies dans les procédures judiciaires de la crise post-électorale aux côtés de 250 victimes, elles ne seront pas sur le banc des parties civiles au... suite de l'article sur RFI
C’est un coup de colère des organisations ivoiriennes des droits de l’homme. Depuis quatre ans, investies dans les procédures judiciaires de la crise post-électorale aux côtés de 250 victimes, elles ne seront pas sur le banc des parties civiles au... suite de l'article sur RFI