Le procès de l'ex-Première dame Simone Gbagbo a débuté mardi à Abidjan, a constaté Xinhua.
Mme Gbagbo qui arborait un sourire à son arrivée à la cour d'assises, a salué ses partisans avant de prendre place dans le box des accusés.
L'épouse de l'ex-chef de l'Etat ivoirien comparaît pour "crimes contre l'humanité", "crimes contre les prisonniers de guerre" et "crimes contre les populations civiles", commis lors de la crise postélectorale de 2010-2011, qui a fait plus de 3.000 morts selon des chiffres officiels.
Ce nouveau procès devrait durer un mois, selon des sources judiciaires.
Mme Gbagbo a été arrêtée en même temps que son époux en avril 2011.
Elle purge actuellement une première peine de 20 ans de prison pour "atteinte à la sûreté de l'Etat", prononcée l'an dernier.
La Cour pénale internationale (CPI) avait un mandat d'arrêt contre elle, pour crimes contre l'humanité commis lors des violences post-électorales et demandé à la Côte d'Ivoire de la transférer à La Haye.
Mais les autorités ivoiriennes n'ont pas accédé à la demande d'extradition de l'institution judiciaire internationale malgré son insistance, estimant que la Côte d'Ivoire est apte à juger Mme Gbagbo.
De l'avis du président ivoirien Alassane Ouattara, la justice ivoirienne a les capacités de mener un procès correct.
"L'appareil judiciaire ivoirien est en état de fonctionnement parfait", a-t-il insisté.
Mme Gbagbo qui arborait un sourire à son arrivée à la cour d'assises, a salué ses partisans avant de prendre place dans le box des accusés.
L'épouse de l'ex-chef de l'Etat ivoirien comparaît pour "crimes contre l'humanité", "crimes contre les prisonniers de guerre" et "crimes contre les populations civiles", commis lors de la crise postélectorale de 2010-2011, qui a fait plus de 3.000 morts selon des chiffres officiels.
Ce nouveau procès devrait durer un mois, selon des sources judiciaires.
Mme Gbagbo a été arrêtée en même temps que son époux en avril 2011.
Elle purge actuellement une première peine de 20 ans de prison pour "atteinte à la sûreté de l'Etat", prononcée l'an dernier.
La Cour pénale internationale (CPI) avait un mandat d'arrêt contre elle, pour crimes contre l'humanité commis lors des violences post-électorales et demandé à la Côte d'Ivoire de la transférer à La Haye.
Mais les autorités ivoiriennes n'ont pas accédé à la demande d'extradition de l'institution judiciaire internationale malgré son insistance, estimant que la Côte d'Ivoire est apte à juger Mme Gbagbo.
De l'avis du président ivoirien Alassane Ouattara, la justice ivoirienne a les capacités de mener un procès correct.
"L'appareil judiciaire ivoirien est en état de fonctionnement parfait", a-t-il insisté.