Invité à la 7è édition de la semaine culturelle de l’Association des étudiants et stagiaires ivoiriens au Maroc (Aseesim), Touré Mamadou, Conseiller du président de la République chargé de la Jeunesse et des sports, a co-animé un panel avec son collègue des Technologies de l’information et de la Communication, Koné Lanciné, le samedi 4 juin 2016 au Maroc.Thème choisi: ’’Diaspora estudiantine marocaine : quelle place dans l’émergence de la Côte d’Ivoire’’. Le parrain de l’événement était le ministre Téné Birahima Ouattara. En présence de nombreux participants venus de plusieurs régions du Maroc pour la circonstance, notamment, Rabat, Aghadir, Fès, Casablanca, le collaborateur du chef de l’État a profité de l’occasion, selon nos sources, pour faire l’état des lieux en Côte d’Ivoire, avant avril 2011, date de la chute de l’ex-régime. Il a instruit son auditoire sur les grandes actions menées par le président Alassane Ouattara et son gouvernement, après avril 2011 jusqu’à ce jour, au niveau diplomatique, économique, social et dans le domaine de la sécurité, pour redresser la Côte d’Ivoire. « Nous pouvons être fiers du leadership d’un grand président de la République comme Alassane Ouattara qui, dans des conditions extrêmement difficiles, a pu faire progresser notre pays dans tous les domaines », a indiqué Touré Mamadou, qui a rappelé que ’’le revenu par tête d’habitant a augmenté sous Alassane Ouattara de 25 %, quand le taux de pauvreté passe de 51 % à 46 %, soit 10 % de pauvres en moins’’. « L’investissement dans les infrastructures a permis d’améliorer substantiellement le cadre de vie de nos populations. Depuis la Côte d’Ivoire indépendante, jamais autant de ressources n’ont été dégagées pour les dépenses pro-pauvres, soit près de 1700 milliards de Fcfa en 2015 », a-t-il révélé. Il a ajouté, par ailleurs, que pour les jeunes, le gouvernement a mis un accent particulier sur les questions de l’emploi et de l’éducation. « Beaucoup de choses restent encore à faire, mais la Côte d’Ivoire est sur la bonne voie pour atteindre le statut de pays émergent », croit savoir le conférencier, qui a signifié à ses hôtes, les défis qui restent à relever, notamment le renforcement des institutions, la poursuite de la transformation de notre économie, et le redressement moral à travers une lutte plus accrue contre corruption.
«La jeunesse doit cultiver les valeurs d’union, de discipline et de travail et doit être à la tête de ce combat pour la transformation positive de notre pays dans tous les domaines. C’est à ce prix que nous pourrons incarner l’Ivoirien nouveau dont le chef de l’État ne cesse d’appeler à l’avènement », a-t-il conseillé. Son collègue chargé des Tic lui a emboîté le pas, mais en mettant en exergue les opportunités qu’offre l’économie numérique en Côte d’Ivoire. « Les Tic ont changé complètement notre monde aujourd’hui et le secteur de l’économie numérique offre beaucoup d’opportunités », a déclaré Koné Laciné. Il a par ailleurs informé les étudiants marocains de la constitution par le gouvernement d’un fonds de 500 millions de Fcfa pour accompagner les meilleurs jeunes ivoiriens . Ayant passé 30 ans de sa vie à l’étranger, le conseiller du président Ouattara chargé des Tic a prodigué beaucoup de conseils aux jeunes en les invitant à dépasser les hésitations et à retourner au pays pour contribuer à son développement. « Beaucoup d’entre nous issus de la diaspora, de par les études et la fonction que nous occupons, hésitons souvent à retourner chez nous, au regard des acquis que nous avons dans nos pays d’accueil. Mais vous devez savoir qu’aucun de ces pays ne pourra nous offrir de meilleures opportunités de contribuer au développement du continent africain que notre pays », a-t-il souligné. Le président de l’Université de Mundiapolis, Amine Bensaid, s’est félicité de la présence des conseillers du président Alassane Ouattara au Maroc.
« L’université croit à la diversité. Ces journées culturelles nous permettent d’aller au-delà de nos ignorances et d’apprendre grâce à ces jeunes ivoiriens les réalités culturelles et sociologiques de la Côte d’Ivoire», a-t-il dit. Quant au président de l’Association, Gnézé Laurent Fréjus, il a justifié le choix du conseiller Touré Mamadou. « Notre choix s’est porté sur vous deux années consécutives pour présider nos journées culturelles parce que vous représentez pour nous, jeunes de la diaspora, un modèle », a-t-il conclu.
Séverin DJAHA
«La jeunesse doit cultiver les valeurs d’union, de discipline et de travail et doit être à la tête de ce combat pour la transformation positive de notre pays dans tous les domaines. C’est à ce prix que nous pourrons incarner l’Ivoirien nouveau dont le chef de l’État ne cesse d’appeler à l’avènement », a-t-il conseillé. Son collègue chargé des Tic lui a emboîté le pas, mais en mettant en exergue les opportunités qu’offre l’économie numérique en Côte d’Ivoire. « Les Tic ont changé complètement notre monde aujourd’hui et le secteur de l’économie numérique offre beaucoup d’opportunités », a déclaré Koné Laciné. Il a par ailleurs informé les étudiants marocains de la constitution par le gouvernement d’un fonds de 500 millions de Fcfa pour accompagner les meilleurs jeunes ivoiriens . Ayant passé 30 ans de sa vie à l’étranger, le conseiller du président Ouattara chargé des Tic a prodigué beaucoup de conseils aux jeunes en les invitant à dépasser les hésitations et à retourner au pays pour contribuer à son développement. « Beaucoup d’entre nous issus de la diaspora, de par les études et la fonction que nous occupons, hésitons souvent à retourner chez nous, au regard des acquis que nous avons dans nos pays d’accueil. Mais vous devez savoir qu’aucun de ces pays ne pourra nous offrir de meilleures opportunités de contribuer au développement du continent africain que notre pays », a-t-il souligné. Le président de l’Université de Mundiapolis, Amine Bensaid, s’est félicité de la présence des conseillers du président Alassane Ouattara au Maroc.
« L’université croit à la diversité. Ces journées culturelles nous permettent d’aller au-delà de nos ignorances et d’apprendre grâce à ces jeunes ivoiriens les réalités culturelles et sociologiques de la Côte d’Ivoire», a-t-il dit. Quant au président de l’Association, Gnézé Laurent Fréjus, il a justifié le choix du conseiller Touré Mamadou. « Notre choix s’est porté sur vous deux années consécutives pour présider nos journées culturelles parce que vous représentez pour nous, jeunes de la diaspora, un modèle », a-t-il conclu.
Séverin DJAHA