Le Réseau africain des hommes d’affaires (RAHA) vient d’être saisi par le Collectif ivoirien des opérateurs économiques investisseurs (COLIVOP) d’une affaire de dette non remboursée qui depuis trois semaines, secoue la communauté libanaise en général et le milieu des opérateurs économique ivoirien.
Selon les faits qui nous ont été rapporté, la police judiciaire a interpelé Mme Fatme Ahmad Lakiss, sur plainte de Monsieur Odaye Chaloub, opérateur économique vivant à San-Pedro, le mercredi 18 mai 20016. Ce dernier accuse Mme Fatmé Lakiss de lui avoir emprunté des millions de dollars et aurait usé de faux documents pour faire croire au remboursement des dettes contractées. La police ayant donc été saisie de cette affaire, s’est mise aux trousses de Mme Fatmé Lakiss qu’elle a interpellée à la date susmentionnée. Ces sommes contractéés l’ont-elles été pour le compte de l’entreprise Safcacao dirigée par M.Ali Lakiss, dont la femme est poursuivie devant les tribunaux ? La question resté posée.
C’est le lieu pour nous d’attirer l’attention des autorités judiciares compétentes de Côte d’Ivoire sur ce dossier suivi de près par les organisations internationales telles l’union africaine et la cedeao, ainsi que par des unvestisseurs étrangers. Nous voudrions ici nous inuqiéter de la lenteur de la procedure judiciaire pour une affaire aussi sensible. Tout comme le Colivop nous souhaitons pour notre part « Que ce dossier soit traité avec rigueur. Que la Justice ne se laisse pas influencée et dise le droit. Nous avons confiance en elle. Nous interpellons le ministre de la Justice afin qu’il regarde de près ce dossier, car la justice ne doit pas faite au préjudice des pauvres et en faveur des riches. En effet, que personne ne soit protégé dans ce dossier et que celui qui a tort ou raison soit reconnu comme tel. Cela y va de l’instauration de la confiance et de l’assainissement dans le milieu des affaires. »
Aussi appelons-nous tous les opérateurs économiques à se mobiliser afin que ce dossier connaisse un meilleur traitement possible.
Fait à Dakar le 6 juin 2016
Diop Manel , Président Le Réseau africain des hommes d’affaires (RAHA)
Selon les faits qui nous ont été rapporté, la police judiciaire a interpelé Mme Fatme Ahmad Lakiss, sur plainte de Monsieur Odaye Chaloub, opérateur économique vivant à San-Pedro, le mercredi 18 mai 20016. Ce dernier accuse Mme Fatmé Lakiss de lui avoir emprunté des millions de dollars et aurait usé de faux documents pour faire croire au remboursement des dettes contractées. La police ayant donc été saisie de cette affaire, s’est mise aux trousses de Mme Fatmé Lakiss qu’elle a interpellée à la date susmentionnée. Ces sommes contractéés l’ont-elles été pour le compte de l’entreprise Safcacao dirigée par M.Ali Lakiss, dont la femme est poursuivie devant les tribunaux ? La question resté posée.
C’est le lieu pour nous d’attirer l’attention des autorités judiciares compétentes de Côte d’Ivoire sur ce dossier suivi de près par les organisations internationales telles l’union africaine et la cedeao, ainsi que par des unvestisseurs étrangers. Nous voudrions ici nous inuqiéter de la lenteur de la procedure judiciaire pour une affaire aussi sensible. Tout comme le Colivop nous souhaitons pour notre part « Que ce dossier soit traité avec rigueur. Que la Justice ne se laisse pas influencée et dise le droit. Nous avons confiance en elle. Nous interpellons le ministre de la Justice afin qu’il regarde de près ce dossier, car la justice ne doit pas faite au préjudice des pauvres et en faveur des riches. En effet, que personne ne soit protégé dans ce dossier et que celui qui a tort ou raison soit reconnu comme tel. Cela y va de l’instauration de la confiance et de l’assainissement dans le milieu des affaires. »
Aussi appelons-nous tous les opérateurs économiques à se mobiliser afin que ce dossier connaisse un meilleur traitement possible.
Fait à Dakar le 6 juin 2016
Diop Manel , Président Le Réseau africain des hommes d’affaires (RAHA)