L’ancienne Première dame de Côte d’Ivoire, Simone Gbagbo a dit lundi n’avoir "appelé personne à commettre des actes répréhensibles" lors de la crise postélectorale de 2010-2011, lors de son procès pour "crimes contre l’humanité" commis pendant cette période, à Abidjan.
"Je n’ai appelé personne à commettre des actes répréhensibles", a dit Mme Gbagbo, estimant que "ceux qui (en) ont commis" doivent "assumer" les conséquences de leurs actes.
Elle a par ailleurs demandé à la barre qu’on lui "démontre" que des actes de ce genre ont été posés après qu’elle ait lancé un "appel" dans ce sens.
A la question de savoir si elle connaît "l’article 125", en référence à une pratique d’exécution sommaire par le feu qui a fait son apparition lors de cette crise, Simone Gbagbo a répondu : "je ne sais pas ce que c’est".
"Beaucoup de choses graves ont été dites sur moi", a déclaré l’ex-Première qui dit être vue comme une "femme ambitieuse" et "dure", appelant le juge à établir "la vérité des faits" car "il y va" également de son "honneur" et de sa "dignité".
Simone Gbagbo est poursuivie pour "crimes de guerre" et "crimes contre l’humanité" commis lors de la crise postélectorale en Côte d’Ivoire.
MYA
"Je n’ai appelé personne à commettre des actes répréhensibles", a dit Mme Gbagbo, estimant que "ceux qui (en) ont commis" doivent "assumer" les conséquences de leurs actes.
Elle a par ailleurs demandé à la barre qu’on lui "démontre" que des actes de ce genre ont été posés après qu’elle ait lancé un "appel" dans ce sens.
A la question de savoir si elle connaît "l’article 125", en référence à une pratique d’exécution sommaire par le feu qui a fait son apparition lors de cette crise, Simone Gbagbo a répondu : "je ne sais pas ce que c’est".
"Beaucoup de choses graves ont été dites sur moi", a déclaré l’ex-Première qui dit être vue comme une "femme ambitieuse" et "dure", appelant le juge à établir "la vérité des faits" car "il y va" également de son "honneur" et de sa "dignité".
Simone Gbagbo est poursuivie pour "crimes de guerre" et "crimes contre l’humanité" commis lors de la crise postélectorale en Côte d’Ivoire.
MYA