ABIDJAN - La Côte d'ivoire dispose d'importants atouts qui attirent les capitaux étrangers, selon le Directeur du département Commerce et Compétitivité de la Banque Mondiale, Klaus Tilmes.
Lors d'un entretien avec des médias diffusé mardi sur la radio nationale, M. Tilmes a indiqué que les réformes entreprises par la Côte d'ivoire ces dernières années lui ont valu d'être classée parmi les économies les plus dynamiques du continent.
"Il convient de saluer la volonté du gouvernement d'accorder une part importante dans le financement du Plan national de développement (PND) au secteur privé", a-t-il noté.
Le haut fonctionnaire de la Banque mondiale a toutefois relevé quelques faiblesses qu'il convient de régler selon lui pour permettre aux autorités ivoiriennes de réaliser leurs ambitions de faire de la Côte d'Ivoire un pays émergent.
"La Côte d'Ivoire devrait veiller à initier plusieurs réformes dans les secteurs du transport, des infrastructures, du port et surtout dans le secteur de la logistique, qui reste capital pour un secteur privé qui se veut dynamique", a-t-il expliqué.
Pour M. Klaus, la richesse ne doit pas se concentrer uniquement à Abidjan, elle doit se ressentir dans toutes les autres villes du pays.
Il s'est ainsi réjoui de l'engagement du gouvernement à diversifier ses sources de revenus dans des domaines comme l'agrobusiness, les technologies, tout en contribuant à une croissance inclusive et durable.
"La Côte d'Ivoire peut jouer un rôle extrêmement important dans la sous-région en développant le commerce, en connectant les grandes agglomérations par voie terrestre, comme le corridor Abidjan Lagos", a-t-il estimé.
Lors d'un entretien avec des médias diffusé mardi sur la radio nationale, M. Tilmes a indiqué que les réformes entreprises par la Côte d'ivoire ces dernières années lui ont valu d'être classée parmi les économies les plus dynamiques du continent.
"Il convient de saluer la volonté du gouvernement d'accorder une part importante dans le financement du Plan national de développement (PND) au secteur privé", a-t-il noté.
Le haut fonctionnaire de la Banque mondiale a toutefois relevé quelques faiblesses qu'il convient de régler selon lui pour permettre aux autorités ivoiriennes de réaliser leurs ambitions de faire de la Côte d'Ivoire un pays émergent.
"La Côte d'Ivoire devrait veiller à initier plusieurs réformes dans les secteurs du transport, des infrastructures, du port et surtout dans le secteur de la logistique, qui reste capital pour un secteur privé qui se veut dynamique", a-t-il expliqué.
Pour M. Klaus, la richesse ne doit pas se concentrer uniquement à Abidjan, elle doit se ressentir dans toutes les autres villes du pays.
Il s'est ainsi réjoui de l'engagement du gouvernement à diversifier ses sources de revenus dans des domaines comme l'agrobusiness, les technologies, tout en contribuant à une croissance inclusive et durable.
"La Côte d'Ivoire peut jouer un rôle extrêmement important dans la sous-région en développant le commerce, en connectant les grandes agglomérations par voie terrestre, comme le corridor Abidjan Lagos", a-t-il estimé.