« Le Conseil a adopté une communication relative au financement du Projet d’Insertion des Jeunes Vulnérables-phase d’urgence. Ce dispositif vise à développer l’épanouissement de la personnalité et la Socialisation du jeune pour en faire un citoyen conscient de ses devoirs envers l’Etat et de ses responsabilités envers la communauté. Il s’agit précisément d’une opération de resocialisation des jeunes dont l’âge oscille entre 14 et 21 ans et qui s’adonnent à des activités subversives de nature à exposer leur vie, à perturber l’ordre public et à mettre en péril la sécurité des personnes et des biens.
Ce projet permettra de donner une formation qualifiante à ces jeunes et de les accompagner dans leur insertion professionnelle à travers la formation civique et citoyenne pour l’inclusion sociale. L’opération se déroulera dans les centres de formation civique et citoyenne de Guiglo et de Sassandra pour une cible de population de jeunes estimée à environ 300.
Le Conseil a instruit le Ministre chargé de la Promotion de la Jeunesse et l’ensemble des Ministres concernés à l’effet de prendre les mesures d’urgence pour mener à bien ce projet ». Telle est la communication adoptée au conseil des ministres du 6 juin 2016 au titre du ministère de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des jeunes et du Service civique en liaison avec d’autres ministères. Il ressort de ce communiqué que le gouvernement n’a pas opté pour l’appellation ‘‘Enfant en conflit avec la loi’’ en lieu et place des microbes proposée par la ministre des Droits de l’homme et des Libertés publiques Paulette Badjo. Le gouvernement a plutôt préféré l’appellation ‘‘Jeunes vulnérables phase d’urgence’’. Certes le gouvernement n’a pas non plus maintenu le nom ‘‘ microbes, mais en rejetant le terme ‘‘Enfant en conflit avec la loi, il semble dire non à Paulette Badjo.
T.A.B
Ce projet permettra de donner une formation qualifiante à ces jeunes et de les accompagner dans leur insertion professionnelle à travers la formation civique et citoyenne pour l’inclusion sociale. L’opération se déroulera dans les centres de formation civique et citoyenne de Guiglo et de Sassandra pour une cible de population de jeunes estimée à environ 300.
Le Conseil a instruit le Ministre chargé de la Promotion de la Jeunesse et l’ensemble des Ministres concernés à l’effet de prendre les mesures d’urgence pour mener à bien ce projet ». Telle est la communication adoptée au conseil des ministres du 6 juin 2016 au titre du ministère de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des jeunes et du Service civique en liaison avec d’autres ministères. Il ressort de ce communiqué que le gouvernement n’a pas opté pour l’appellation ‘‘Enfant en conflit avec la loi’’ en lieu et place des microbes proposée par la ministre des Droits de l’homme et des Libertés publiques Paulette Badjo. Le gouvernement a plutôt préféré l’appellation ‘‘Jeunes vulnérables phase d’urgence’’. Certes le gouvernement n’a pas non plus maintenu le nom ‘‘ microbes, mais en rejetant le terme ‘‘Enfant en conflit avec la loi, il semble dire non à Paulette Badjo.
T.A.B