La note attribuée aux émissions obligataires à long terme en monnaie étrangère et locale de la Côte d’Ivoire demeure dans la catégorie spéculative, jugée risquée par les investisseurs, du fait de « fondamentaux structurels fragiles, comme le PIB par habitant », et « des indicateurs financiers et de développement humain » encore bien inférieurs aux moyennes des pays de la même catégorie.
Mais cela ne remet pas en cause une croissance supérieure à 8,5% depuis quatre ans et une inflation modérée, a justifié l’agence de notation anglo-américaine dans un communiqué vendredi 10 juin. Celle-ci table sur des niveaux analogues à moyen terme, malgré une érosion progressive d’un « effet rattrapage » de l’économie ivoirienne et son exposition à des « chocs... suite de l'article sur Jeune Afrique
Mais cela ne remet pas en cause une croissance supérieure à 8,5% depuis quatre ans et une inflation modérée, a justifié l’agence de notation anglo-américaine dans un communiqué vendredi 10 juin. Celle-ci table sur des niveaux analogues à moyen terme, malgré une érosion progressive d’un « effet rattrapage » de l’économie ivoirienne et son exposition à des « chocs... suite de l'article sur Jeune Afrique