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Le gouverneur du District d’Abidjan a été l’hôte, mercredi 15 juin, du président de la République de l’Inde. A l’occasion, Beugré Mambé, qui a offert les clés de la ville d’Abidjan à Pranab Mukherjee, l’a élevé au rang de citoyen d’honneur. Au nom des chefs traditionnels présents à la cérémonie, il lui a donné le nom de Assito qui signifie le chemin, la voie. Bien avant, il lui a souhaité la bienvenue et exalté les valeurs spirituelles qui constituent le fondement du peuple indien.
En effet, selon le gouverneur Mambé, l’Inde, qui est le point de convergence de flux spirituels de haute intensité, a produit des hommes de très grandes valeurs morales comme Mahatma Gandhi. Ce pays a su faire le mariage entre ce que l’homme peut percevoir et ne peut percevoir. Cette terre de migration, qui offre au monde entier de se réconcilier avec le divin, foyer de coexistence de l’humain et du divin, est, au dire du parton d’Abidjan, une chance pour l’humanité entière, qui compte sur l’Inde pour revenir au respect de la nature.
"Votre tradition est en avance sur tous les pays en termes de respect de la nature", a relevé le gouverneur du District d’Abidjan. "La proximité de la nature a forgé de grandes qualités morales chez les Indiens", toute chose qui, a-t-il poursuivi, leur fait prendre conscience de la juste mesure du temps et de l’importance des événements. Subséquemment, "l’élite indienne est une grande école de la vie et pour la vie".
Et si l’on en croit Beugré Mambé, l’Inde n’est pas seulement une terre de haute spiritualité, mais aussi une puissance économique. En effet, ce pays d’un milliard 300 âmes, qui sera le premier en termes d’habitants, dans quelques années, est "la 9e puissance économique mondiale en termes de PIB nominal mais 3e en termes de PIB à parité de pouvoir d’achat". Il est à l’avant-garde dans d’autres secteurs comme la microfinance, l’informatique, l’art culinaire, la culture, le cinéma, la musique, etc.
Quant au président indien, ravi d’être visite dans "la perle de l’Afrique de l’Ouest", selon ses propos, il a dit être honoré par la remise des clés et du parchemin de la ville d’Abidjan, et heureux pour l’honneur qui lui a été fait d’avoir été élevé au rang de citoyen d’honneur de cette ville qui l’a, par ce fait, adopté, ainsi que les Indiens qui vivent en sécurité en Côte d’Ivoire.
En tant que la plus grande démocratie au monde, l’Inde, a poursuivi Pranab Mukherjee, est heureuse que la Côte d’Ivoire, qui est une économie importante, ait retrouvé toute sa splendeur, après la crise qu’elle a vécue. Il a souhaité que la réconciliation entre les Ivoiriens se fasse. Le président indien s’est aussi montré sensible à la tradition ivoirienne, qui, selon lui, se rapproche de la philosophie indienne. Cela montre, à l’envi, que l’humanité est une grande famille.
Pour finir, le président Mukherjee a indiqué accepter, au nom du peuple indien, la citoyenneté honoraire qui lui a été conférée. Il a souhaité, au nom de celui-ci, aux Ivoiriens, des vœux de prospérité, de bonheur et de paix.
Notons la présence à cette cérémonie des ministres Hamed Bakayoko et Mabri Toikeusse de l’Intérieur et des Affaires étrangères, des maires, des chefs traditionnels drapés dans leur tenue d’apparat.
Dircom
En effet, selon le gouverneur Mambé, l’Inde, qui est le point de convergence de flux spirituels de haute intensité, a produit des hommes de très grandes valeurs morales comme Mahatma Gandhi. Ce pays a su faire le mariage entre ce que l’homme peut percevoir et ne peut percevoir. Cette terre de migration, qui offre au monde entier de se réconcilier avec le divin, foyer de coexistence de l’humain et du divin, est, au dire du parton d’Abidjan, une chance pour l’humanité entière, qui compte sur l’Inde pour revenir au respect de la nature.
"Votre tradition est en avance sur tous les pays en termes de respect de la nature", a relevé le gouverneur du District d’Abidjan. "La proximité de la nature a forgé de grandes qualités morales chez les Indiens", toute chose qui, a-t-il poursuivi, leur fait prendre conscience de la juste mesure du temps et de l’importance des événements. Subséquemment, "l’élite indienne est une grande école de la vie et pour la vie".
Et si l’on en croit Beugré Mambé, l’Inde n’est pas seulement une terre de haute spiritualité, mais aussi une puissance économique. En effet, ce pays d’un milliard 300 âmes, qui sera le premier en termes d’habitants, dans quelques années, est "la 9e puissance économique mondiale en termes de PIB nominal mais 3e en termes de PIB à parité de pouvoir d’achat". Il est à l’avant-garde dans d’autres secteurs comme la microfinance, l’informatique, l’art culinaire, la culture, le cinéma, la musique, etc.
Quant au président indien, ravi d’être visite dans "la perle de l’Afrique de l’Ouest", selon ses propos, il a dit être honoré par la remise des clés et du parchemin de la ville d’Abidjan, et heureux pour l’honneur qui lui a été fait d’avoir été élevé au rang de citoyen d’honneur de cette ville qui l’a, par ce fait, adopté, ainsi que les Indiens qui vivent en sécurité en Côte d’Ivoire.
En tant que la plus grande démocratie au monde, l’Inde, a poursuivi Pranab Mukherjee, est heureuse que la Côte d’Ivoire, qui est une économie importante, ait retrouvé toute sa splendeur, après la crise qu’elle a vécue. Il a souhaité que la réconciliation entre les Ivoiriens se fasse. Le président indien s’est aussi montré sensible à la tradition ivoirienne, qui, selon lui, se rapproche de la philosophie indienne. Cela montre, à l’envi, que l’humanité est une grande famille.
Pour finir, le président Mukherjee a indiqué accepter, au nom du peuple indien, la citoyenneté honoraire qui lui a été conférée. Il a souhaité, au nom de celui-ci, aux Ivoiriens, des vœux de prospérité, de bonheur et de paix.
Notons la présence à cette cérémonie des ministres Hamed Bakayoko et Mabri Toikeusse de l’Intérieur et des Affaires étrangères, des maires, des chefs traditionnels drapés dans leur tenue d’apparat.
Dircom
