Le 1er mai dernier, sous la pression populaire, le président de la République, Alassane Ouattara, montait au créneau, à la faveur de la célébration de la fête du Travail, pour annoncer d'importantes mesures.
Au nombre de celles-ci, la révision à la baisse du tarif de l'électricité, voire la rétrocession aux abonnés du trop plein perçu sur les factures depuis le mois de janvier. Période durant laquelle le secteur énergétique venait de subir une hausse de tarifs. A l'origine de ces mesures radicales, une montée de fièvre au niveau des populations qui dénonçaient la vie chère à laquelle venait s'ajouter celle de l'électricité, denrée de première nécessité dont l'augmentation du prix pourrait entraîner une nouvelle flambée. suite de l'article sur L’Inter
Au nombre de celles-ci, la révision à la baisse du tarif de l'électricité, voire la rétrocession aux abonnés du trop plein perçu sur les factures depuis le mois de janvier. Période durant laquelle le secteur énergétique venait de subir une hausse de tarifs. A l'origine de ces mesures radicales, une montée de fièvre au niveau des populations qui dénonçaient la vie chère à laquelle venait s'ajouter celle de l'électricité, denrée de première nécessité dont l'augmentation du prix pourrait entraîner une nouvelle flambée. suite de l'article sur L’Inter