La Côte d’Ivoire, pour se prémunir contre le risque de déficit de gaz naturel, a décidé de s’approvisionner en gaz naturel liquéfié (GNL), dans le cadre d’un projet qui est entré dans sa phase opérationnelle.
Le gouvernement a validé en conseil des ministres mercredi une communication relative à la mise en œuvre de ce projet dont l’exécution a suscité la mise sur pied d’un consortium de sociétés gazières nationales et internationales. Leurs premières livraisons devraient intervenir « avant la fin du 1er trimestre 2018″, a indiqué le porte-parole du Gouvernement, Bruno Nabagné Koné.
« Ce projet a été initié par le gouvernement, en vue de renforcer les capacités nationales de production d’énergie électrique de façon à prémunir notre pays contre le risque de déficit de gaz naturel et ses conséquences sur l’économie nationale », a-t-il noté, avant de déplorer une dépendance actuelle de la Côte d’Ivoire du gaz naturel qui fournit l’ »essentiel » de l’électricité produite dans le pays.
« Il subsiste un risque important de pénurie aux environ de 2025-2030, ce qui pourrait avoir un impact sur la production d’électricité. Il y a lieu donc de prendre dès à présent des mesures et en l’occurrence, c’est ce qui est fait ici », a souligné Nabagné Koné.
Le GNL désigne le gaz naturel transformé sous forme liquide. Cet état est atteint lorsque le gaz est refroidi à une température d’environ -161°C à pression atmosphérique. Il est un liquide dit « cryogénique » (liquide dont la température est inférieure à -150°C), signale-t-on.
kg/ask
Le gouvernement a validé en conseil des ministres mercredi une communication relative à la mise en œuvre de ce projet dont l’exécution a suscité la mise sur pied d’un consortium de sociétés gazières nationales et internationales. Leurs premières livraisons devraient intervenir « avant la fin du 1er trimestre 2018″, a indiqué le porte-parole du Gouvernement, Bruno Nabagné Koné.
« Ce projet a été initié par le gouvernement, en vue de renforcer les capacités nationales de production d’énergie électrique de façon à prémunir notre pays contre le risque de déficit de gaz naturel et ses conséquences sur l’économie nationale », a-t-il noté, avant de déplorer une dépendance actuelle de la Côte d’Ivoire du gaz naturel qui fournit l’ »essentiel » de l’électricité produite dans le pays.
« Il subsiste un risque important de pénurie aux environ de 2025-2030, ce qui pourrait avoir un impact sur la production d’électricité. Il y a lieu donc de prendre dès à présent des mesures et en l’occurrence, c’est ce qui est fait ici », a souligné Nabagné Koné.
Le GNL désigne le gaz naturel transformé sous forme liquide. Cet état est atteint lorsque le gaz est refroidi à une température d’environ -161°C à pression atmosphérique. Il est un liquide dit « cryogénique » (liquide dont la température est inférieure à -150°C), signale-t-on.
kg/ask