Grand-Bassam – Le ministère de la Promotion de la Femme, de la Famille et de la Protection de l’enfant, en collaboration avec les ministères de la Justice et des Affaires Etrangères, a organisé un atelier de « compréhension de la convention de la Haye de 1993 (CLH 93) sur la protection de l’enfant et la coopération en matière d’adoption internationale et de détermination de ses modalités d’application » mardi et mercredi au Village des technologies de l’information et de la biotechnologie (VITIB) de Grand-Bassam.
Il s’est agi de réfléchir sur les modalités de mise en œuvre de la convention de la Haye afin d’améliorer le cadre juridique et institutionnel relatif à l’adoption internationale.
Au sortir de cet atelier, les dispositions nationales et la convention de la Haye de 1993 ont été enseignées aux participants tout comme les modalités d’application de cette convention ainsi que le cadre de procédures.
Cependant, des recommandations, pour un suivi de ces reformes, ont été adoptées, notamment la révision de la loi nationale relative à l’adoption, l’adoption des textes subséquents relatifs aux organes de mise en œuvre de la CLH 93, la garantie de l’intérêt supérieur de l’enfant à travers la transparence et la crédibilité des procédures, la mise en place, dans les meilleurs délais, des outils et des mécanismes de mise en œuvre de la cette convention, le renforcement de la collaboration et de la communication entre les différents acteurs intervenant en matière d’adoption internationale, la définition de critères objectifs déterminant l’adoptabilité des enfants, le renforcement des capacités de l’administration en charge de l’évaluation des adoptants et de l’adoptabilité des enfants à travers des formations en techniques et rédaction des enquêtes sociales.
Selon le ministre Euphrasie Yao, « cet atelier revêt un caractère très important car l’on parle de l’humain, de l’enfant, donc des sentiments » d’autant plus que « c’est une forte responsabilité pour garantir la protection de l’enfant ». Elle s’est engagée à proposer au gouvernement les mesures adoptées à l’effet de traduire dans le droit et dans les faits les engagements nés de la ratification de la convention de la Haye (CLH 93) pour l’adoption internationale des enfants.
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Il s’est agi de réfléchir sur les modalités de mise en œuvre de la convention de la Haye afin d’améliorer le cadre juridique et institutionnel relatif à l’adoption internationale.
Au sortir de cet atelier, les dispositions nationales et la convention de la Haye de 1993 ont été enseignées aux participants tout comme les modalités d’application de cette convention ainsi que le cadre de procédures.
Cependant, des recommandations, pour un suivi de ces reformes, ont été adoptées, notamment la révision de la loi nationale relative à l’adoption, l’adoption des textes subséquents relatifs aux organes de mise en œuvre de la CLH 93, la garantie de l’intérêt supérieur de l’enfant à travers la transparence et la crédibilité des procédures, la mise en place, dans les meilleurs délais, des outils et des mécanismes de mise en œuvre de la cette convention, le renforcement de la collaboration et de la communication entre les différents acteurs intervenant en matière d’adoption internationale, la définition de critères objectifs déterminant l’adoptabilité des enfants, le renforcement des capacités de l’administration en charge de l’évaluation des adoptants et de l’adoptabilité des enfants à travers des formations en techniques et rédaction des enquêtes sociales.
Selon le ministre Euphrasie Yao, « cet atelier revêt un caractère très important car l’on parle de l’humain, de l’enfant, donc des sentiments » d’autant plus que « c’est une forte responsabilité pour garantir la protection de l’enfant ». Elle s’est engagée à proposer au gouvernement les mesures adoptées à l’effet de traduire dans le droit et dans les faits les engagements nés de la ratification de la convention de la Haye (CLH 93) pour l’adoption internationale des enfants.
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