« Je lance un appel au rassemblement de tous les militants du FPI pour que le parti parte unis aux élections législatives. C’est un impératif, si nous voulons peser sur le jeu politique en Côte d'Ivoire et être une alternative crédible ». Ces propos ont été tenus par le président du Front populaire ivoirien (Fpi), l’ex-Premier ministre Pascal Affi N’Guessan, ce lundi 19 juin, à Paris. Il était l’invité du « Grand Débat » sur Africa No 1.
A peine arrivée en France, ce lundi matin, le président du Fpi, n’a pas tardé à se mettre au travail. Il s’est automatiquement mis à la disposition de certains médias dont cette chaine panafricaine. Il a souligné lors de cet entretien que l’Alliance des forces démocratique (Afd, regroupement de plusieurs partis d’oppositions), dont fait partie le Fpi, « sera présente dans toutes les circonscriptions électorale ».
Parlant de sa visite à rendre à l’ex-Président Laurent Gbagbo, incarcéré à la Haye, il a fait savoir que le fondateur du Fpi n’a jamais dit qu’il ne veut pas le recevoir. « Il le fera quand il le jugera nécessaire,soutient-il, pour le moment, il reçoit ceux qui ont besoin d’être recadré ». Avant de poursuivre, « pour moi, ce ne sont ni les messes, ni les pèlerinages à la CPI qui vont libérer le président Laurent Gbagbo, ce sont les actions intelligentes de terrain et les actions diplomatiques qui le permettront ».
Le président Pascal Affi N’Guessan a levé un coin de voile sur son agenda, après avoir expliqué les motivations de cette tournée en France. « Je suis en mission en France pour le parti en vue de le repositionner à l'international. Nous serons donc à cet effet reçu à Matignon, au Quai d'Orsay et à l'Elysée. Nous pensons que la politique moderne ne peut faire l'économie d'une action diplomatique cohérente et efficace», a-t-il expliqué
Affi est aussi revenu sur la questions du statut du chef de l’opposition. Pour lui, « le statut du chef de l'opposition n'est pas encore défini vu que la loi n'est pas encore votée. Mais la réalité c'est que le FPI est la principale force de l'opposition ».
Le président du Fpi, Pascal Affi N’Guessan, effectue depuis lundi 20 juin, une visite de travail et d’amitié en France qui s’étendra sur dix jours (du 20 au 30 juin 2016).
SERCOM
A peine arrivée en France, ce lundi matin, le président du Fpi, n’a pas tardé à se mettre au travail. Il s’est automatiquement mis à la disposition de certains médias dont cette chaine panafricaine. Il a souligné lors de cet entretien que l’Alliance des forces démocratique (Afd, regroupement de plusieurs partis d’oppositions), dont fait partie le Fpi, « sera présente dans toutes les circonscriptions électorale ».
Parlant de sa visite à rendre à l’ex-Président Laurent Gbagbo, incarcéré à la Haye, il a fait savoir que le fondateur du Fpi n’a jamais dit qu’il ne veut pas le recevoir. « Il le fera quand il le jugera nécessaire,soutient-il, pour le moment, il reçoit ceux qui ont besoin d’être recadré ». Avant de poursuivre, « pour moi, ce ne sont ni les messes, ni les pèlerinages à la CPI qui vont libérer le président Laurent Gbagbo, ce sont les actions intelligentes de terrain et les actions diplomatiques qui le permettront ».
Le président Pascal Affi N’Guessan a levé un coin de voile sur son agenda, après avoir expliqué les motivations de cette tournée en France. « Je suis en mission en France pour le parti en vue de le repositionner à l'international. Nous serons donc à cet effet reçu à Matignon, au Quai d'Orsay et à l'Elysée. Nous pensons que la politique moderne ne peut faire l'économie d'une action diplomatique cohérente et efficace», a-t-il expliqué
Affi est aussi revenu sur la questions du statut du chef de l’opposition. Pour lui, « le statut du chef de l'opposition n'est pas encore défini vu que la loi n'est pas encore votée. Mais la réalité c'est que le FPI est la principale force de l'opposition ».
Le président du Fpi, Pascal Affi N’Guessan, effectue depuis lundi 20 juin, une visite de travail et d’amitié en France qui s’étendra sur dix jours (du 20 au 30 juin 2016).
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