L’Etat de Côte d’Ivoire doit des arriérés financiers à des fédérations sportives, dans le cadre des compétitions internationales et d’autres prestations de 2009 à 2015. En Conseil des Ministres le 18 septembre 2015, le Chef de l’Etat et le Gouvernement ivoirien avaient accepté et décidé du remboursement de cette dette d’un montant de 2 147 923 730 francs CFA. La mise en application de cette décision a fait l’objet de la réunion extraordinaire du jeudi 16 juin dernier à la salle de conférence du Ministère des Sports et des Loisirs. Au cours de cette rencontre présidée par M. Moumouni Sylla, le Directeur de Cabinet dudit Ministère, celui-ci a expliqué que les échanges au sein du Cadre Permanent de Concertation (CPC) devraient « lever les malentendus et adopter une vision commune quant à l’exécution définitive de ce dossier »
En octobre 2015, une réunion avait défini les conditions à remplir par les fédérations sportives pour se faire rembourser leurs dus. Il fallait en effet produire les originaux des pièces justificatives des dépenses effectuées. A ce jour, seulement 20 fédérations sur les 40 fédérations concernées ont déposé leurs justificatifs. Mais là encore, il se pose des problèmes parce qu’à l’exception des fédérations de judo, taekwondo, cyclisme et de rugby, les autres ont déposé des photocopies, une pièce que l’Inspection Générale du Trésor ne peut accepter selon le Directeur Administratif et Financier (DAF) du Ministère.
Ce dernier a informé les participants lors de la rencontre de ce jeudi, que sur la somme totale à rembourser, seulement 1.500 000.000 (un milliard cinq cent mille) de francs CFA ont été mis à la disposition de la Régie des compétitions internationales. Une somme répartie comme suite : 500 millions (cinq cent millions) pour la Fédération Ivoirienne de Football (FIF), 500 autres millions à l’Afrobasket et les derniers 500 millions pour autres fédérations et prestataires de services. Depuis cette date, certaines fédérations sont rentrées en possession de leur dû. A l’instar du Sofitel Hôtel Ivoire dont la dette de 80 millions (Quatre- vingt millions) après la 5ème Conférence des Ministres des Sports de l’Union Africaine a été apurée.
D’autres sujets tels que la possibilité de prendre des avances sur les primes de la parafiscalité, les fédérations non admises à percevoir cette parafiscalité etc. ont été débattus et le président de la réunion extraordinaire a donné des réponses qui ont rassuré les participants.
En octobre 2015, une réunion avait défini les conditions à remplir par les fédérations sportives pour se faire rembourser leurs dus. Il fallait en effet produire les originaux des pièces justificatives des dépenses effectuées. A ce jour, seulement 20 fédérations sur les 40 fédérations concernées ont déposé leurs justificatifs. Mais là encore, il se pose des problèmes parce qu’à l’exception des fédérations de judo, taekwondo, cyclisme et de rugby, les autres ont déposé des photocopies, une pièce que l’Inspection Générale du Trésor ne peut accepter selon le Directeur Administratif et Financier (DAF) du Ministère.
Ce dernier a informé les participants lors de la rencontre de ce jeudi, que sur la somme totale à rembourser, seulement 1.500 000.000 (un milliard cinq cent mille) de francs CFA ont été mis à la disposition de la Régie des compétitions internationales. Une somme répartie comme suite : 500 millions (cinq cent millions) pour la Fédération Ivoirienne de Football (FIF), 500 autres millions à l’Afrobasket et les derniers 500 millions pour autres fédérations et prestataires de services. Depuis cette date, certaines fédérations sont rentrées en possession de leur dû. A l’instar du Sofitel Hôtel Ivoire dont la dette de 80 millions (Quatre- vingt millions) après la 5ème Conférence des Ministres des Sports de l’Union Africaine a été apurée.
D’autres sujets tels que la possibilité de prendre des avances sur les primes de la parafiscalité, les fédérations non admises à percevoir cette parafiscalité etc. ont été débattus et le président de la réunion extraordinaire a donné des réponses qui ont rassuré les participants.