La Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire a abrité la cérémonie d’ouverture d’une table ronde sur la commercialisation du bétail et de viande sous la présidence du Ministre Jean-Louis Billon en charge du Commerce. L’objectif de cette table ronde est de proposer au gouvernement un ensemble de mesures à prendre pour faire pratiquer le juste prix du bétail – viande et lutter contre l’inflation du prix de la viande sur le marché. Il s’agira en claire d’identifier les différents problèmes qui minent la filière bétail – viande en Côte d’Ivoire et de proposer des ébauches de solution aux différents problèmes qui seront identifiés.
Selon le ministre Billon, cette table ronde, qui s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la politique du Gouvernement de lutte contre la vie chère, est le lieu pour les participants de porter un regard critique sur les questions de fond et de révéler de manière claire, exhaustive et sans fuyant tous les facteurs qui entravent et surenchérissent la commercialisation du bétail et de la viande en Côte d’Ivoire, a t-il soutenu avant d’inviter les uns et les autres à s’impliquer tout le long de cet atelier.
La problématique de la lutte cintre la vie chère préoccupe au plus haut niveau la Gouvernement ivoirien. Selon une étude menée par le ministère du Commerce, 60% des ivoiriens estiment que l’alimentation est le premier poste de dépense le plus cher du ménage. Aussi le désengagement de l’Etat des activités de production et de commercialisation au profit du secteur privé en est une cause. Cet atelier est selon le ministre, une opportunité d’amoindrir ce problème dont la résolution tient à cœur aux ivoiriens. Malgré les nombreuses politiques de valorisation de la production animale nationale, la Côte d’Ivoire demeure un pays non auto-suffisant en matière de protéine animale, et dépend des pays du sahel dans lesquels elle doit importer du bétail sur pied pour ravitailler son marché.
MIA
Selon le ministre Billon, cette table ronde, qui s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la politique du Gouvernement de lutte contre la vie chère, est le lieu pour les participants de porter un regard critique sur les questions de fond et de révéler de manière claire, exhaustive et sans fuyant tous les facteurs qui entravent et surenchérissent la commercialisation du bétail et de la viande en Côte d’Ivoire, a t-il soutenu avant d’inviter les uns et les autres à s’impliquer tout le long de cet atelier.
La problématique de la lutte cintre la vie chère préoccupe au plus haut niveau la Gouvernement ivoirien. Selon une étude menée par le ministère du Commerce, 60% des ivoiriens estiment que l’alimentation est le premier poste de dépense le plus cher du ménage. Aussi le désengagement de l’Etat des activités de production et de commercialisation au profit du secteur privé en est une cause. Cet atelier est selon le ministre, une opportunité d’amoindrir ce problème dont la résolution tient à cœur aux ivoiriens. Malgré les nombreuses politiques de valorisation de la production animale nationale, la Côte d’Ivoire demeure un pays non auto-suffisant en matière de protéine animale, et dépend des pays du sahel dans lesquels elle doit importer du bétail sur pied pour ravitailler son marché.
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